Imagines tome 2 (aucune commande)

Damon Salvatore

Tu ouvris les yeux avec un soupir, soufflant à la lumière entrant par la fenêtre ouverte.  L'un de vous avait oublié de la fermer la nuit dernière et voilà que le soleil te réveillait à cette heure indue.  C'était quoi 8h du matin ?  L'horreur.  Le corps chaud enroulé autour de toi bougea et tu souris alors que Damon enfonçait son visage dans le creux de ton cou dans son sommeil.  Avec précaution, tu démêlais ton corps du sien et tu te hissais hors du lit.  Vêtu seulement d'un ensemble de sous-vêtements décidément fades, Damon avait naturellement tendance à déchirer toutes tes jolies tenues, tu te dirigeais vers la salle de bain et démarrais la douche.  En poussant un soupir de contentement alors que la vapeur remplissait la pièce, tu es rentré dans la douche.

« T/p? Seigneur, pourquoi te lèves-tu si tôt ? »  Damon a grommelé depuis le lit et tu as souri sachant qu'il n'avait probablement pas encore ouvert les yeux. Tu pouvais imaginer le regard fatigué de ses yeux grincheux sur son visage alors qu'il se protégeait de la lumière par la fenêtre ouverte, quelque chose que tu avais trop l'habitude de voir.

« Il est presque 9 heures, Dam. » Tu as rappelé en appliquant de l'après-shampooing sur tes cheveux Brun.

« Puis-je au moins te rejoindre sous la douche ? » Damon a demandé d'un ton chantant et tu as entendu les ressorts du le lit alors qu'il se hissait sur ses pieds.

Un oui a passé tes lèvres pendant un moment alors que tu pensais à ton petit ami dans seulement son boxer juste devant la porte mais tu t'es arrêté.  « Pas ce matin, bébé. Stefan est dans la maison pour une heure et Caroline est censée arriver d'une minute à l'autre. Je n'ai pas besoin de trois vampires dans la maison quand on se salit. »

« Tu n'as pas juste dit qu'on se salissait. T/p, honnêtement, quel âge as-tu ? » demanda Damon alors que tu coupais l'eau avec un petit rire.

« Je vais bientôt avoir onze ans tais-toi. » tu as plaisanté en enroulant une serviette autour de ton corps et en sortant de la salle de bain.  Damon enroula un bras autour de toi, te tirant dans un baiser paresseux, le sommeil toujours dans ses yeux.

« As-tu bien dormi? » Demanda-t-il doucement, plaçant de doux baisers dans ton cou pour te distraire.

« Bien, j'ai rêvé de toi en fait. » Tu as répondu en fouillant dans ses tiroirs pour trouver des vêtements propre qui t'appartenais.

« Je sais. » dit Damon sarcastiquement.  « Tu es obsédé par moi. Ça devient un peu effrayant T/p. »

Tu lève un sourcil en te tournant vers lui. « Nous sortons ensemble depuis plus d'un an Damon. »

Il sourit.  « Alors c'était un vilain rêve ? » Dit-il d'un ton taquin, se moquant toujours de ton langage immature plus tôt.

« Eh bien, je ne sais pas ce qu'est le vilain. Plus comme 50 façons différentes pour Klaus et Rebekah de te mettre en pièces. Alerte spoiler, le numéro 23 est de t'attacher comme une piñata et de voir ce qui en ressort. » Tu as répondu, faisant correspondre son sarcasme avec aisance, l'une des raisons pour lesquelles vous travailliez si bien ensemble en tant que couple.

« Je suis blessé T/p. Vraiment profondément blessé. Je ne sais pas comment je vais m'en remettre un jour. » Damon se moqua, plaçant une main sur sa poitrine avant de placer ses lèvres sur les tiennes une fois de plus.

Damon s'est dirigé vers les tiroirs dans lesquels tu étais en train de fouiller et en a sorti un jean et un ensemble assorti de sous-vêtements noirs en dentelle.  « Porte une de mes chemises ? S'il te plaît, bébé ? »  demanda-t-il en faisant la moue.

« Caroline me pendra par les intestins si j'essaie de sortir dans l'une de celles-là. » Tu lui as rappelé.

« Est-ce un oui ? Je vais te faire des pancakes ? » Damon a suggéré et tu as roulé des yeux en sachant que tu pourrais probablement lui tirer des pancakes de toute façon, mais tu as quand même hoché la tête.  « Alors je suppose que je devrais commencer à mélanger la pâte. Je t'aime. » Il t'a répondu alors qu'il quittait la pièce d'une voix chantante qui te faisait sourire.  Dieu, c'était un idiot mais tu l'aimais.