Their Beloved Prince

Chapitre 1

Disclamer : Les univers de Harry Potter et Twilight, appartiennent à J.K Rowling et Stephenie Meyer. Et cette fanfiction appartient à misteeirene. Rien ne m'appartient à part la traduction.

Warning : mention d'abus, attouchement non-con, Slash,...

Résumé : Harry, 8 ans, est retrouvé mourant par les Volturi. Saisissant sa chance, Aro décide de le transformer et de l'élever avec l'aide de ses frères. Harry deviendra-t-il comme tous les autres enfants immortels, ou sera-t-il quelque chose de plus ?

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S'agenouillant sur le tapis blanc trempé de sang, Aro souleva soigneusement la tête de l'enfant et la posa délicatement sur ses genoux. "Pauvre, pauvre enfant," dit-il tristement en regardant tous les souvenirs passés de l'enfant à partir d'un simple toucher. C'était son don, il pouvait voir tout ce qu'ils avaient vécu en quelques minutes après les avoir touchés. "Tant de douleur et de souffrance."

"Mets fin à la misère de cette pauvre âme, mon frère", renifla Caius, en regardant fixement l'enfant mal nourri qui était un désordre mutilé et ensanglanté.

Aro se lécha les lèvres avec avidité quand le garçon toussa et que du sang jaillit de sa bouche et coula sur sa main. "Oui, ce serait la chose la plus charitable à faire," dit-il. "Cependant, si seulement nous étions arrivés quelques minutes plus tôt, nous aurions pu le sauver de ce destin tragique." Il ne se souciait pas de tuer des humains, il les voyait seulement comme une source de nourriture, mais normalement il ne se nourrissait pas d'enfants, surtout aussi jeune que celui sur ses genoux.

Marcus essuya le sang de sa bouche, et regarda vers le bas avec dégoût le gros homme à ses pieds qu'il venait de drainer. Gros était un doux euphémisme, l'homme avait la taille d'un béluga adulte. Il ne se souciait pas de savoir si ses repas étaient maigres ou conséquent, mais cet ignoble bâtard lui avait laissé un mauvais goût dans la bouche.

"Relaxe, mon enfant", roucoula Aro quand l'enfant brisé commença à gémir, ses grands yeux verts le regardant fixement avec les pupilles dilatées par la douleur et la peur. "Je vais faire disparaître la douleur et mettre fin à ta misérable existence. Tu n'as rien connu d'autre que l'abus, la souffrance et la haine dans ta si courte existence sur cette terre, je vais t'envoyer quelque part où tu seras aimé et chéri." Il mentait au garçon bien sûr, il ne croyait pas en Dieu ou au paradis, mais pour une raison étrange, il ressentit le besoin de réconforter le garçon avant de prendre sa vie et de le vider de son sang. Le petit était en train de mourir de toute façon, il avait dépassé le stade où il pouvait être sauvé. Les organes internes du pauvre enfant avaient été écrasés par le gros humain que Marcus avait drainé.

Aro et ses frères, ainsi que quelques-uns de leurs gardes, étaient en train de traverser une petite ville lugubre en chassant un loup-garou quand ils ont entendu le son d'un enfant pleurant et suppliant. Avec leur sens accru, ils ont pu entendre ce qui ressemblait à de la chair frappant la chair alors que l'enfant gémissait, ainsi que le son d'un homme respirant lourdement et grognant. Normalement, ils n'auraient pas 'enquêter' sur une telle perturbation, mais Marcus avait été curieux et avait filé dans la direction d'où les sons provenaient. Comme les trois rois vampires étaient toujours collés ensemble, les deux autres et le reste des gardes l'ont rapidement suivi.

La scène qu'ils ont découvert après avoir arraché la porte de ses gonds a confirmé pourquoi les vampires ne ressentaient aucune culpabilité lorsqu'ils prenaient des vies humaines. En ce qui les concerne, les humains étaient les vrais monstres, pas les vampires. Seul un monstre battrait un enfant petit et innocent jusqu'à ce que toutes ses côtes soient écrasées, ses poumons perforés, sa colonne vertébrale brisée à plus d'un endroit, son crâne fracturé avec de multiples autres os, et ses organes internes endommagés au-delà de toute réparation possible. Les vampires ne tuaient que pour se nourrir, et même dans ce cas, la mort qu'ils donnaient était rapide, sans douleur, même si le vampire choisissait 'd'embellir' ses victimes.