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NIHALE
(10/10/2014)
Je me rétabli petit à petit, ma côte à guéri Alhamdulilah, ma cheville aussi, je porte plus de bombe ou attelle Dieu merci. En novembre je pourrais enfin recommencer à travailler. Celui qui m'a agresser est en prison, j'ai gagné le jugement il a obtenu 3 mois de prison, c'est rien j'avoue mais la juge a dit que il était pas vraiment conscient parce que il était bourré.
De toute façon je m'en fou j'ai parlé avec sa mère elle m'as dit qu'ils vont déménager dans leurs pays d'origine et des qu'il sortira de prison il vas les rejoindre aussi, il habitera donc plus au quartier et je pourrais vivre tranquillement et pas dans la peur de me refaire agresser à nouveau.
Mais c'est vrai que je suis traumatisée, j'ai décidé alors de m'inscrire à la boxe pour apprendre à me défendre au cas où, cette fois je ne serais plus impuissante et surtout je pourrais me défendre seule.
Je reviens de la salle de boxe justement, il est encore tôt mais faut que je me dépêche avant la tombée de la nuit. Mon coach m'as fait faire un entraînement assez intense, ça m'as permit de me défouler en tout cas, je commence à découvrir un nouveau sport que je commence à aimer car je me sens plus forte, j'ai plus de mental, bref que du positif.
Je rentre dans mon bâtiment, tout de suite les gars je l'es voient comme à leurs habitude entrain de squatter ici. Je leurs passe un salam par politesse et prends l'ascenseur que pour une fois marche.
À mon étage je sors mes clés et rentre chez ma famille de cœur, à peine j'ouvre la porte et je pose mon sac de sport à l'entrée je vois Moha venir en courant en hurlant mon prénom pour se caser dans mes bras, je ricane et le serre à moi, décidément ce gosse me kiffe jusqu'au bout.
- Mow ma vie, ça vas ?. Ça été l'école ?. Dis je.
- Ouii !! On a appris comment écrire nos prénoms ! Moi mon prénom est trop beau même si j'ai mis du temps à l'écrire parce qu'il est long !. Il me dit en gesticulant des ses petites mains.
Je caresse ses petites bouclettes crépus sur la tête, il me fait un bisous sur la joue et finit pas repartir après que sa mère l'appelle de l'a cuisine.
J'enlève mes chaussures et les met à l'entrée dans la petite étagère sur le sol avec les autres paires, je reprends mon sac et vas au salon pour saluer tonton Abd'Allah.
- Salam Aleykoum ma fille, tu vas bien ?. Il me demande, je souris et comme je fais avec mon père je prend sa main l'embrasse puis je pose dessus mon front puis je le prend dans mes bras.
