chapitre 1️⃣0️⃣

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Proposition de Psychotaku973

Désolé ça fait longtemps que j'ai pas écrit, donc j'espère que ça va vous plaire

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Désolé ça fait longtemps que j'ai pas écrit, donc j'espère que ça va vous plaire.
Alors ça parleras de viole, mort et suicide.
Il est pas très joyeux.
Tous les monstres ressemble à Huggy Wuggy mais d'une autre couleur.
Désolé pour les fautes d'orthographe.
Bonne lecture


Ça fesait 5ans que tu étais enfermé dans ce centre Poppy Playtime. Les monstres sont à la tête du monde, après une longue guerre, de 50ans les humains sont devenus une espèce en voie d'extinction. Nous sommes devenus des animaux exposée dans des cages. Tu est le/la seul humain/e, dans ce centre, tu est la mascotte.
Il est 6H du matin le centre s'ouvre, des monstres du monde entier viennent voir ton quotidien. Tu est réveillée mais tu sais que tu ne dois pas te lever, les spectateurs adore quand tu dors.
5minutes passe, tu sais se que tu dois faire par cœur, ça fait 5ans, 5 longue année que tu fais ça. Tu bouges de ton lit, pour changer de position, laisse ta bouche entre ouverte, avec un peu de bave qui dépasse, réaction instantanément ils rigolent.
Tu baille et ouvre tes yeux, tous doucement. Ils trouvent ça mignon.
Tu te lève, tu baille encore.
Tu marches vers ta table et tu commences à manger ton petit déjeuner. C'est toujours, toujours la même chose, la même nourriture. Tu dois te forcer à sourire. Une fois fini de manger, tu dois prendre une douche et t'habiller, même après t'en d'année tu est gênée. Tout ses yeux rivés vert toi. Tu détestes cette sensation.
A 12H tu est dans le coin des enfants, tu dois les laisser te toucher, jouer avec eux, tu dois leur parler. Et surtout ne jamais haussé la voix sur eux.
Ils te tire les cheveux, ils te griffe et ils te mordre. Tu dois toujours garder ton sourire.
Un enfant monstre jaune, s'amuse à me frapper, bien sûr je dit rien. Tu te perds dans tes pensées, tu penses à ta vie d'avant.
D'un coup une vive douleur te prends au bras.
-Aaah, putain d'enculé, vas te faire foutre !
Merde, tu viens vraiment de gueuler ça. Tu baisses la tête, le petit monstre jaune ta mordu le bras, tu saigne beaucoup. Tu te met à trembler, un monstre rose avec une tenue de vigile, vien te chercher, il pose ça main sur ton épaule.
-excusez-le/la il/elle est un peu fatigué.
Tu le suis. Tu sais très bien où tu vas. Vous quitter le coin pour enfants, vous passez dans plusieurs couloir, vous arrivez devant une porte, tu la connais bien, et tu la redoute.
-Je t'en supplie, je ne veux pas, il vas encore me faire mal.
-Desoler petit/e, j'ai déjà essayé de t'aider, les personnes avec beaucoup d'argent n'ont pas de problème avec l'autorité. L'association pour la protection des humains était d'accord pour t'aider cependant ils ont étaient acheter avec de l'argent. Je peux rien faire.
Il toque à la porte, il l'ouvre. Tu rentres.
Un monstre rouge, se tient derrière un bureau.
-Ca fesait longtemps, j'allais pensais que tu voulais plus me voir.
Il se lèche les lèvres
Tu te retiens de pleurer, tu sais que ça lui fait plaisir.
-Bon, passons à ta punition.
L'autre monstre s'en va. Au fond de toi tu sais ce qu'il vas te faire. Il l'a toujours fait pendant ces 5ans. A chaque fois tu finis dans un sal état. Un truc qui est sûr, un humain ne peut pas tomber enceinte d'un monstre. Tu étais tellement perdu dans tes pensées que tu est déjà plaquer sur le bureau. Il te déshabille lentement très lentement, pour faire durer cette souffrance encore plus longtemps. Une fois déshabille, il perd pas son temps. Pendant qu'il abuse de toi, tu regardes la fenêtre, et tu rêve d'être libre, de pouvoir voir, ta mère, ton père et tes amis. Ça te permet de ne pas penser à la douleur.
Une fois qu'il a fini, il te donne une serviette, avec cette fameuse phrase qu'il te le dis à chaque fois.
-Tu est si incroyable, vas retrouver ton publique.
Je sors de sont bureau. Devant le bureau il y a le garde, il a toujours se regarde triste.
Je me retrouve dans le coin pour enfants. Tu t'assoie sur une chaise et tu craque, il y a personne heureusement.
Après plusieurs minutes, un monstre bleu se met devant toi a genoux.
-Quand j'étais petit ma mère m'a dit que les humains n'avais pas de sentir.
-Ma mère disais que c'était les monstres qui n'avais pas de sentiment.
Tu te mets à pleuré a chaud larme.
-Elle me manque.
-La mienne aussi. Pourquoi tu pleurait tout a l'heure ?
-Ca semble évident, êtres enfermé toute la journée, ne jamais allé dehors, se faire maltraité par des gosse et se faire violer a chaque fois qu'on fait une connerie... C'est vraiment horrible.... Et aucun association veulent m'aider....
-Les association peuvent peut être pas t'aider mais des personnes en dehors oui. Je m'appelle Huggy Wuggy et le garde qui travaille ici, ma demandé de t'aider et se que je vais faire.
Il te portes sur son épaule comme un sac, et il court, il court super vite. Ça te semble si irréaliste, comment il peut partir du centre avec toi sur son dos, aussi facilement.
Tu en pleure de joie.


























Il a réussi, tu est chez lui, dans son jardin, tu saute sur l'herbe, tu te roule par terre, tu est tellement heureux/se.
Trois mois sont passés, Huggy ta appris à lire, écrire, à fait à mangé et a s'occuper de la maison.
Tous les soirs tu est assis sur le canapé soit il te lis une histoire, soit tu lui raconter des anecdotes sur ta vie d'avant. Vous vous êtes beaucoup attachés. Tu est heureux/e avec lui. Tu te sens bien, tu est loin de cette enfer, et maintenant tu est libre. Tu attends l'arrivée de Huggy avec impatiente. Mais il n'est pas rentré. Tu vas te coucher, il est peut être en retard.
Une semaine est passée. Il était 4H du matin, la porte de l'entrer viens de claquer, tu te précipite. C'est Huggy, mais il saigne d'une blessure. Il tombe par terre. Tu cours vers lui.
-Huggy qu'est ce qui c'est passé ?
-Fuis, par loin.
-Quoi non.
-'Bam!
Une balle à trensperser ça tête, je regarde la porte, le monstre rouge.
-Il est l'heure de rentrer à la maison.
Tu bouges pas tu est paralysé par la porte. Non tu veux pas, c'est pas possible pourquoi, pourquoi tu ne peux pas être libre. Il n'avait pas besoin de le tuer.

Deux jours plus tard, tu est sur ce putain de lit. Tu te lève vas à la table. Je prends le couteau. tu le regardes, je ne serai plus jamais libre, je veux le rejoindre, rien ne peut être pire qu'ici. Tu le met sous ta gorge, mon public et horrifié. Tu les regarde.
-Vous aurais pus changer quelques choses.
Tu te coupe la gorge. Puis rien.

huggy wuggy one shotOù les histoires vivent. Découvrez maintenant