" la réalité n'est qu'un concept qui ne s'appuie que sur le vide, alors le vide peut-il clamer être la réalité suprême ? " ;;
Du vide un peu partout, les choses tournent, ou bien c'est moi. Mon estomac cherche à s'échapper de mon organisme. Mes yeux ne captent plus la réalité, tout s'efface, plus rien n'est familier et plus rien n'a de sens. Où suis-je ? Quand est-ce que tout ça a commencé ? La limite, la limite, j'ai atteint la limite où je ne sais plus réfléchir correctement. Mes sens sont troublés, rien à accrocher, rien à voir, rien à sentir, tout se mélange, mon esprit s'imprègne de tout et non, tout cela ne marche pas, plus rien ne fait sens, je fais pas sens, je ne connais plus personne, je cherche mon visage, quelque part, il est quelque part, comme moi. Où, je ne sais. Comme moi. Je veux hurler, c'est la seule chose qu'il me reste à faire parce que mon corps s'effrite, où sont mes yeux, mes yeux, où sont-ils passés, parce que je veux les cacher, histoire d'échapper au temps qui se tord et l'air qui se liquéfie, et, seigneur, où est l'air, l'air, mes poumons se détruisent, je m'auto-détruis, car c'est le moment. Oui, il est temps de partir, je dors, je dors, je dors, et quand je me réveillerai tout sera terminé. Les sons se perdent, qu'importe, rien n'existe, ni même moi. Et même si le liquide dans mes poumons imaginaires semblent très réaliste, rien n'existe, tout est illusoire, comme le bleu du ciel u le ciel du bleu, lequel est le plus véritable ? Mais, seigneur, tout ira bien, tout ira bien, la fin et le renouveau sont proches. Je suis vivant, même à travers la dimension surréaliste, je le sais. Tout va bien.
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- DEDALES,, satosugu
Randomle métro est un endroit rempli de mystères, llà où tout peut basculer, là où blanc et noir se confrontent, là où blanc et noir s'unissent pour trouver la sortie au paradis déguisé, là où réalité et délire coexistent, là où Suguru comprend que plus r...