Chapitre 24 : Adieu

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Pdv Shikadai :

Shikadai : L'Hokage, mon père et Sasuke son revenu. Ils ont anéanti ton "clan". Si on peut appeler sa comme ça ...

Kaito me regarda un long moment ... Il semblait hésiter. Je posa ma main sur son épaule, comme pour le rassurer.

Kaito : Et Shiouko ? Osa t-il a me demander.

Il s'en voulait.
Je pouvais le sentir à cause du ton de sa voix.
Je baissa le regard.
Ne voulant pas que les larmes ressurgissent.

Shiouko ...

Ma petite soeur ...

Une des personnes que j'aime le plus au monde ...

Et pourtant je n'ai pas su la protéger du danger qui la gêtait un peu plus chaque jour.
Je suis misérable ...
Je ne suis qu'un incapable...
Un bon à rien.

Shikadai : Son état s'aggrave. Elle est dans le coma. Arrivais- je à articuler.

Kaito baissa la tête. Je retira ma main de son épaule, ayant pour but de le laisser seul. Mais au moment ou je pensais franchir la porte une petite voix m'appela :

Kaito : Shikadai ... C'est bien ça ?

Shikadai : Mmh ... ouais.

Kaito : Excuse moi, Shikadai. Je n'ai rien pu faire pour Shiouko. Elle n'a rien demandé et aujourd'hui elle est entre la vie et la mort par ma faute. Je m'excuse... Je ne suis qu'un incapable ... Un bon à rien. Je voulais juste les sauver. Ma mère ... Ma petite soeur ... Elle ... Moi ...

Shikadai : C'est drôle. Tu tiens presque le même discours que moi.

Kaito : Pardon ... Je ne suis qu'un monst...

Temari : Un monstre ?

Shikadai : Maman ?!

Kaito : Madame ...

Maman aussi retenait ses larmes.
Ses joues cresés et ses cernes ne pouvait que dire une chose : elle était plus qu'inquiète.
Son regard, habituellement dur et froid, était devenu à la fois tendre et larmoyant.

Temari : Ecoutez moi les garçons. Vous n'y êtes pour rien. Shikadai, tu n'as pas à t'en vouloir. Tu es encore jeune et c'est normal que tu ne puisses pas détecter le danger. Rassure toi mon grand, tu as fais le plus que tu pouvais faire.

Shikadai : Mmh ... Mais ...

Temari : Tant dis que toi ... Kaito. Tu es un homme bon. Tu as voulus sauver ta famille, ce qui est tout à fait normal. Tu as rencontrer ma fille par hasard, tu lui as fait vivre de bons moments. Vous vous êtes tout les deux crée des souvenirs qui vous sont propres.

Kaito : ...

Shikadai : ...

Temari : Si ma fille meure ... Je ne t'en voudrais pas. D'accord ?

Kaito : Oui ... Répondit il simplement. Mais je ne suis pas sur que votre mari réagisse de la même manière...

Shikamaru : Tu te trompes mon garçon.

Papa entra dans la pièce, et se plaça aux côtés de maman. Glissant une main autour se sa taille, comme il avait l'habitude de faire.
Lui aussi avait des cernes. Sa couette était mal faite et son teint pale indiquait que, oui aussi, n'était plus maître se ses propres émotions.

Shikadai : Papa ?

Shikamaru : J'ai bien vu comment tu t'es battus pour elle. J'ai bien vu tous l'amour que tu lui portais, dans t'es yeux.

Kaito : Hein ?! Mais ... Je ne suis pas amoureux de votre fille ... Enfin ... S'exclama t-il en rougissant un peu.

Shikadai : Ne sais tu pas que le mot amour peu avoir plusieurs sens ? Enfin ... Tout ça pour dire que nous t'accueillerons, toujours, les bras ouverts.

J'observa un long moment mon père et ma mère, qui se tenaient le plus fièrement possible. Histoire de garder la face j'imagine. Malgré le poids qui pesait sur leur épaules. J'offris un rapide sourire à Kaito avant de partir.

***

J'étais couché dans l'herbe. Je m'étais mis dans cette grande plaine verte ou nous avons l'habitude d'aller avec jouer Shiouko. Parfois nous jouons au chat, à cache cache ou même à Colin-maillard.
Mais ce que je préférais le plus, c'était quand on s'allongait par terre et qu'ont observaient les nuages.

Shiouko ...

Pourrons- nous a nouveau y venir ?
Comme autre fois ?


Shiouko ...

Ne me quitte pas.
Je t'en pris.
Qu'est ce que je ferais sans toi ?
Comment ferais- je pour vivre sans ma petite soeur adorée ?

🍄🍄🍄

// Grand Frère // Shikadai x sœur // 🍜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant