ᴀɴɢᴇʀ ɪssᴜᴇs
sᴀɴᴢᴜ x ᴏᴄ
•Tiraillé par sa rage, Ary finit par se jeter toute entière dans l'enfer que représente Sanzu.
•Mais, la porte qui retiens cette rage s'avère être bien trop fragile, et bien trop t...
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Je change tellement de fois dans la journée que je ne me reconais plus arriver Minuit. Je ne saurais pas dire ce que j'aime ou deteste de peur que ce sois faux, car je ne sais pas. je suis vide. enfin presque, la rage me tiens fermement la main.
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Il avait pris ma main dans la sienne, il tenait le parapluie au dessus de nous se rapprochant de moi pour ne pas être mouillé. Nos pas dans les flaque d'eau éclaboussaient le bas de nos pantalon.
"- Je te paye des bons ramens ca te vas ?" me demanda t-il sans détaché son regard de la route trempée.
non, pitier pas la nouriture... Je sais déja que je serais incapable de mangé et que je serais prise de nausée. c'est dernier temps c'était devenue quasiment impossible de mangé bien que mon estomac cri famine a chaque instant.
mais je ne voulais pas le quitter, je ne pouvais pas.
"-D'accord" ais-je sourie malgrès moi.
Le cuisinier de la petite enseigne de coin de rue déposa les deux bol de ramens encore fumant devant nous. L'épreuve commencait pour moi. Sanzu semblait si calme ? il n'était pas la même personne que tout a l'heure. reste a savoir qui était le vrai...
"- hum...Sanzu ?" demandais-je doucement en prenant un maximum de temps a saisir mes baguettes.
il se contenta de relever la tête vers moi, pointant ses cils blanc en ma direction.
"- Réponds pas si tu préfère mais c'était qui les trois hommes avec toi ?"
il esquissa un sourire moqueur avent de finit sa bouchée.
"-Pourquoi ? C'est si important ?" repondit-il soudain très serieux.
"-n..non... mais j-"
"- oublie les, et oublie ce que j'ai dit. Les gentilles filles comme toi ne devraient pas se frotter a des type dans notre genre."
je sentit mon corps tout entier bouilloner, Sanzu, tu ne sais rien contrairement a moi. L'odeur de mes ramens encore chaud chatouiller mes narines, l'envie de manger s'empara de mon corps, pour la première fois depuis des mois j'arrivait a manger. Mieux que ca je mangeait avec plaisir !
j'engloutit mon bol de ramens le sourire au lèvres. C'est sûrement sa présence. Il est si detestable et aimable a la fois, qu'est ce qu'il cache?
"-Tu sais humm..." sembla t-il réflechir.
"-Ary" lui souflais-je.
il souria en retour avent de poser ses coudes sur la table et de me regarder fixement.
"-Tu sais Ary, tu es sans defence face a cette bande de boloss, il pourais de tuer en quelques secondes et d'ailleur, moi aussi. On est capable de se battre avec une tel rage qu'une jeune fille ne pourais canali-
"alors frappe moi." dis-je.
qu'est ce qu'il savait de mes capacité ? pas grand choses, j'attendais le bon moment pour lui rendre son cou, je n'ai jamais perdu face a un gars de mon âge c'est pas meintenant que je vais m'y mettre.
il s'étouffa avec ses pattes avent de me faire les gros yeux.
"-hein ?" souffla t-il
"-Ben bat toi avec moi ?"
il étouffa un rire.
"bon très bien..."
Je me lève subitement de ma place et me dirige le regard froid et noir vers la sortie. J'entends ses pas me suivre a l'exterieur. C'est comme d'habitude, le sang qui s'écoule dans mes veines semble être bouillant. Mon corps demande a saigner ou faire saigner.
mes mains tremble de plus en plus frot,je sert mon poing de toute mes fprces tentent de canaliser ma rage insensé, mon regard, mes pensé, mon âme, je ne contôle plus rien quand c'est comme ca.
La haine. la rage. la douleur. l'audeur de la violence. c'est que reclame mon corps.
Je me retourne face a lui, au milieu de la rue deserte. la pluie s'abat sur mon corps bouillant, il me regarde droit dans les yeux, quelque chose a changer dans son regard comme si il conaissait ca.
"-Tu me rappel quelqu'un..." il repris ses esprit avent de me regarder, ce même regard que cette après midi.
"-Très bien, battons nous alors." souffla t-il comme exiter.
Ilse jetta sur moi, enchaina les coups de poing tous pus violent les un que les autres, je devinait un sourire psychopatique sur son visage, il était glacant. a cet instant je n'avais qu'une envie, me laisser mourire entre ses mains.
Il me frappa violement une dizaine de fois de plus comme attendent une réaction de ma part.
"-ALLER MERDE BAT TOI !" hurla t-il la pluie ruisselant sur son front.
