Chapitre 1: Le peintre

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Je refais pour la deuxième fois mon riz. Pourquoi est ce si dur?

Je retourne voir ma recette, cette fois j'ai mis le riz avant l'eau. Jamais je n'y arriverais.
Je suis épuisée de devoir faire autant de choses. Ça paraît facile venant des autres mais enchaîner entre le ménage, les services, la cuisine. Sans oublier les remarques et les mains baladeuse des hommes qui emplissent cette maison, c'est très fatiguant

Je mis suis un peu habituer en deux semaines mais je n'aime pas ça. Il faut dire que dans cette tenue les yeux se tournent beaucoup vers nous.
Ici vivent pratiquement tout le Cartel des Garcia, leurs hommes de main certain membre de la famille. Tous, bien évidement des hommes. Les seules présence féminine sont celle des catins et des domestiques. Or la différence entre elles n'est pas énorme, surtout pour aux yeux d'eux, les hommes.

Les filles ne sont pas beaucoup plus vielle que moi, aucune femme de plus de 25 ans. J'ai déjà croisé une qui paraissait bien plus jeune, mais elle n'était pas vraiment en position de me parler... Disons que sa bouche était pleine. Je dois dire que j'en est vu des choses, cette maison ressemble plus à une maison close qu'à un repère de mafieux.

J'ai croisé plusieurs fois les deux frère Garcia. Le plus âgé Percy est très souvent cloîtré dans son bureau. Lorsque nous étions non loin, chaque fois que son regard croise le mien j'y décelais une méfiance et du dégoût. J'ai peur qu'il comprennent que je suis infiltré. Je fais vraiment une piètre domestique avec mes deux pieds gauches et ma faible compétence en matière de cuisine, ça ne m'étonnerais pas qu'il est des doutes.

Si j'ai aussi peur qu'il me reconnaisse c'est par ce que moi je l'ai reconnue. Le soir à la soirée vole de clef USB, avant d'emprunter les escaliers c'est son visage qui me séparait de l'étage.

Le plus jeune frère Pablo lui est très souvent à découvert, parfois même dans tout les sens du termes. Lui et son cousin s'amuse très souvent avec les filles de joie dans le salon. J'ai bien trop croisé son chemin à mon goût et ses mains elles bien trop mon corps. Chaque fois que j'entre dans la pièce j'ai le droit à un regard de perver qui m'écœure. Le pire avec cet homme reste la première fois où je l'ai vue...


•••

Flashback,
il y a deux semaines à l'arrivé d'Apo,

L'immense porte en métal s'ouvre sur une grande blonde. Elle me détaille pendant que je fais de même. Sa tenu laisse vraiment beaucoup trop de peau à découvert. Elle porte une robe moulante en cuir, qui lui arrive juste en dessous des fesses. Perchée sur des talons plus grands que ses mollets.
Elle n'est pas très moche mais même une toile de Picasso est moins camouflé.

Pot de peinture!

-Entre, elle me dit.

Je la suis dans les couloirs. La maison est vraiment très belle les couleur son assez monotone et tout est moderne. Une forte musique j'allie des murs tandis que des rires et voix viennent d'une autre pièce.

Nous entrons dans ce qui me semble être un salon. Un long canapé en cuir blanc est disposé au milieu avec une table basse qui fait toute sa longueur. Sur le canapé sont installés une dizaine de personne.

Dont 7 filles. Elles sont aussi nues qu'un vert, à chevale sur les hommes. Des gémissements sortent de leurs bouches quand elles se mouvent sur leur camarade tandis que certaine glisse juste des mots doux.

Un des hommes se lève en s'exclament quand il me voit. Le pot de peinture qui m'a ouvert la porte rejoins le canapé et commence à tripoter une des filles.

Avant toi Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant