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Dans le passé :

Dans la nuit noire régnait un silence anormal. La fête battait son plein au cœur d'Inazuma mais une personne dans cette fête manquait.

Et le cri de cette personne même venait de trancher le silence qui régnait.
Sur une plage, non loin de là, une jeune garçon blond s'était perdu.

Mais malheureusement pour lui, il n'allait pas se perdre tranquillement car au loin, il entendait des grognements.

Il commença par accélérer la marche. Même si il n'était pas effrayé, un grognements en pleine nuit reste un grognements et chaque son qu'il entendait à partir de maintenant pourrait lui ôter la vie.

Il se mit à courir de plus en plus vite, l'adrénaline montait en lui et il devenait plus angoissé.

Mais la peur nous joue parfois des tours, et le blond qui courait maladroitement trébucha sur un rocher et se blessa à la jambe.

À partir de maintenant, il ne pouvait qu'espérer...

Des larmes coulait sur les joues du garçon qui s'assit dans un coin, en essayant de se réchauffer avec son oeil divin pyro : le feu.

Mais alors qu'il utilisait son oeil divin, il se souvenait de ce que lui racontait son père :

« Les dieux donnent aux hommes un oeil divin quand leur volonté d'accomplir une action demeure sans égal. »

C'est à ce moment là que Thomas se demanda : pourquoi m'a t-on donné un tel pouvoir ? Quel est ma véritable volonté ? Ma raison de vivre ?

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Cela faisait bientôt trois heures qu'il attendait. Il était affamé et à bout de force, il mourrait de fatigue et songeait à la mort.

Il s'abandonna en fermant les yeux et essayait de se détendre. Une fine brume d'eau circulait à présent dans l'air, un douce brise humide. Les grognements plus loin avait cessé.

Quand il rouvrit les yeux, un jeune garçon du même âge que lui, était accroupi le regardant avec un regard inquiet.

Il avait de courts cheveux bleus et son visage possédait des traits délicats. :

- Ça va ? lui demanda t-il.

- Huh ? J'ai...j'ai très froid... murmura-t-il, merci beaucoup.

- Tu ne peux pas rester ici, viens avec moi. Où sont tes parents ?

-...

Thomas ne répondit pas. Il le savait mais ne voulait pas l'admettre.

- Je comprends...Les miens aussi... Comment tu t'appelles ? Moi, c'est Ayato, Ayato Kamisato !

Le dénommé Ayato lui adressa un grand sourire, le blond se sentit alors rassuré, se leva et lui adressa un grand sourire en retour.

- Moi, c'est Thomas...


                                       


                                    ...juste Thomas.

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Crédit couverture : @expuella sur Twitter

Thomas X Ayato || Sentiments CachésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant