Journal Intime

Un mois

(J'ai ésiter longtemps à la poster mais voila)

Un mois.

30 c'est le nombre de jours depuis ton départ. Ça peut paraître étrange mais j'entant tes griffes trop longues contre le carrelage lorsque tu marchai. J'entant ta médaille taper contre ta gamelle pour manger. J'entant encore tes aboiements. Je sais c'est bizarre mais je vérifie encore que tu ne sois pas dans mes pied le soir quand on est dans la cuisine ou encore dans le couloir. Je pense à toi tout le temps je me suis encore plus renfermé sur moi que je ne l'étais déjà. Le jour de ton départ je n'ai pas put rester à tes côtés jusqu'au bout. Si tu savais à quel point je m'en suis voulu et je m'en veux encore. Tu me manque tellement tu n'étais qu'un chien mais au fil du temps tu es devenu un petit frère pour moi. Et je n'ai pas étais la pour toi. J'ai cru naïvement que tu serais éternel mais je me suis bien tromper. On dis que la vie est un beau cadeau on m'a appris que personne devait reprendre un cadeau mais la mort la fais elle a pris le cadeau de t'avais fais la vie. On dis qu'il faut vivre pour mourir et mourir en ayant vécu. Mais me dire que un être qui m'étais proche est partie sans que je n'ai rien pu faire me désole à un point que je n'ai jamais imaginer. Quand j'ai su se qu'il allais arriver le samedi 26 avril j'ai pleurer alors que tu n'étais même pas encore parti, après cela je t'ai ignorer pour m'éloigner pour pas que ta mort me blesse mais sa n'a pas fonctionner. Quand le jour fatidique est arrivé avec Laure on ta amener à Bilel pour qu'il puisse te dire au revoir. On a passer un certain temps tout les quatre mais encore une fois j'éviter de te prendre avec moi pour que les autres profitent et pour m'éloigner encore plus de toi. Mes tentatives de ne pas être blesser par ton départ ont toute échoué. En se moment je ne vais pas très bien je suis épuiser pour rien, je dors plus mais je suis encore plus fatigué que si je ne dormais pas, je me suis renfermer, je pleur souvent ta mort, je suis facilement irritable et triste je fais pitié. Je commence à lâcher les cours je fais encore moins d'éfforent qu'avant, je ne sais même plus si je vais pouvoir avoir la première que je souhaite au vu de mes notes de maths et de physique qui sont les matières principale. Je m'égare je sais mais je voulais te dire à quel point ta mort affecte. Dis moi est ce que la vie est bien une création de dieu ou elle est une malédiction du diable je ne sais plus. J'ai même voulu commencer à me mutiler mais je sais que je ne dois pas le faire mais j'y pense chaque jours, j'ai toujours une part de conscience qui vient quand je suis sur de ma décision. Au moins je me dis que tu ai avec tes véritables maîtres. « Ton départ » sonne mieux que « ta mort » et ça me fais espérer de ton retour qui est malheureusement impossible. Tu es parti je jour ensoleillé j'aurai préféré que quand tu allais mourir se soit un jour de pluie pour rester dehors pour me dire qu'il ni a pas que moi qui passe une mauvaise journée, pour que je puisse croire que se ne sont pas des larmes qui ruisselle le long de mon visage mais que ce sois la pluie. Pourquoi tu es parti, pourquoi tu n'es pas rester avec nous, pourquoi tu nous as abandonné pourquoi ?