SECRET SUFFERING• Tome2

Chap19-Tyron

Coucou désolé pour l'attente et l'absence je suis bel et bien de retour. Merci à tous ceux qui lisent mon livre je suis ravie de voir que cette histoire vous plaît. Surtout N'hésitez pas à voter pour les chapitres en appuyant sur l'étoile juste en bas. Bonne lecture:)
***

De Maya. Quelle salope. Elle me fait croire qu'elle est enceinte, elle me fait paniquer, culpabiliser et me tourmenter pendant qu'elle elle se bourre la gueule!? J'en ai enfin la preuve nette qu'elle ne porte pas un mioche dans son utérus de timbrée. Elle remarque enfin ma présence et sursaute.

-Tyron! Mais qu'est-ce que tu fais là je croyais que tu n'allais pas venir à cette fête.
elle articule la voix tremblante et le regard rempli de gêne.

Et là je n'ai qu'une envie c'est de lui foutre mon poing dans la gueule. J'avance vers elle d'une manière menaçante tandis qu'elle recule jusqu'à ce retrouver dos contre un mur. Je m'empare donc de sa gorge avec l'intention de la serrer fort entre mes doigts mais je me ressaisis rapidement et mets fin à mon étreinte. Il ne faut pas que j'oublie que c'est une fille.
J'aperçois donc dans ses petites billes de la peur.

- Espèce de sale menteuse! C'est fini tu ne peux plus me faire gober ton histoire de bébé! Tu espérais que je reste avec toi à cause de ce putain d'enfant imaginaire!? Tu te trompes ma pauvre. Je ne t'aime pas et je t'aimerai jamais tu me donnes juste envie de gerber tellement tu fais pitié.
Hurlè-je.

A ce moment précis je ne ressens que du mépris à son égard. Et comme je m'y attendais elle se met à pleurer. Elle pleure mais ça me fait ni chaud ni froid. Je m'écarte donc de la blonde et me rappelle que j'ai donné rendez-vous à Kayla au salon elle doit sûrement m'attendre. Je n'ai même pas eu le temps de boire un verre putain.
Je rebrousse donc chemin en direction du salon où malgré l'agitation je cherche en vain ma princesse de pierre. Où est-elle?
Je monte donc à la l'étage et fouille pièce après pièce mais rien. Ah si il reste une chambre.
J'ouvre lentement la porte de celle-ci et ma vision de brouille quand j'aperçois deux mecs au dessus d'une fille que je distingue comme étant celle dont j'étais à la recherche. Mais qu'est-ce qu'ils foutent!?

-Mec casse toi tu ne vois pas qu'on est occupé?
Déblatére un des mecs complètement ivre.

-Oui c'est vrai dég...

Je ne laisse même pas le temps au second de terminer sa phrase que je lui en mets une dans la tronche. Il hurle de douleur et tombe sur la moquette. J'attrape le second par le colle et lui assène à lui aussi un bon coup dans le nez ainsi il finit lui aussi par terre. Je me retourne vers le lit et je peux devenir fou. C'est une Kayla inconsciente que je vois allongé sur ces draps blancs. Ne me dîtes pas qu'ils l'ont drogué?

-Qu'est-ce que vous lui avez fait!?

Je n'entends aucune réponse et ça me fait sortir de mes gongs. Je me rue vers les deux violeurs et roues de coups leurs corps. Visages, ventres, jambes si aucun d'entre eux ne daignent me répondre ils risques finir handicapés jusqu'à à la fin de leurs vies.

-On l'a droguer! On l'a droguer! Avec de la Kétamine...

Ils l'ont quoi!? Putain de merde! C'est quoi cette Kétamine!? A ce moment précis j'ignore si je dois m'occuper de leur cas ou me précipiter pour prendre soin de Kayla. Bon le plus important est de s'occuper de ma princesse de pierre ces deux connards je les retrouverai et leur ferai payer pour ce qu'ils ont fait plus tard. Alors je m'empare de leurs bras et les extirpe hors de la chambre et referme la porte à clef avant de retourner m'assoir au bord du lit où se trouve la belle métisse.
Je pose ma main contre son front et remarque qu'elle est en sueur. Qu'est ce que je dois faire? Qu'est ce que je dois faire!? Je saisie rapidement mon téléphone et fait des recherches sur cette fameuse drogue.
<<Symptômes: sentiment d'inquiétude, sensation de chaleur, euphorie, perte de mémoire... mais tous ces symptômes se dissipent rapidement après près de quatre heures de temps...>>
Okay ce n'est pas mortel, okay elle va s'en sortir. Il me faut une serviette. C'est sur cette pensée que je me précipite dans la salle de bain de la chambre et y saisie une serviette que j'inhibe d'eau et retourne essuyer son visage et son cou avec cette dernière.