Elle se tenait devant lui, une lueur insolente dans le regard et un air de défi sur le visage.
– Viens là. Lui dit-il en tapotant ses cuisses.
– Non. Répondit-elle en arquant un sourcil et en tentant de dissimuler son sourire amusé.
– Quand je te dis de venir, dit-il en attrapant son bras, tu viens ! Finit-il en tirant dessus.
Elle se retrouva, sans même avoir le temps de comprendre, couchée sur les cuisses de l'homme. Une main posée sur ses fesses et une autre maintenant sa tête baissée, lui rappelant qu'elle n'avait aucun contrôle.
– Je pense qu'il faut te rappeler qui commande ici. Dit-il d'une voix calme.
La main posée sur ses fesses se retira. Elle sentit sa jupe se faire retrousser jusque son dos et sa culotte baisser en dessous de ses fesses. Alors qu'elle attendait la punition qu'elle savait avoir mérité, la position humiliante dans laquelle elle se trouvait ne faisait que faire grandir son excitation. Elle sentit de nouveau le toucher d'une main ferme sur ses fesses en une douce caresse qui la fit frémir et la frustra en même temps. Elle voulait plus, un contact plus fort. La main cessa d'effleurer sa peau et s'éleva dans les airs, pour se rabattre sur sa chair en un claquement sonore qui la fit sursauter. La douleur cuisante accompagnée d'une sensation de chaleur lui fit pousser un gémissement.
– Alors, petite salope ! Dit l'homme d'une voix ferme. Tu sais pourtant à qui tu dois obéir ! Tu es vraiment une vilaine fille ! Je vais te corriger jusqu'à ce que tu te rappelles qui commande !
– Oui ! Dit la femme alors qu'une une autre rude fessée vint s'abattre sur son fessier rebondi.
– Tais-toi ! La reprit-il. Tu parleras quand je t'y autoriserai !
La main s'abattit violemment de nombreuses fois, laissant des marques rouges et chaudes sur son passage. Elle se retenait difficilement de gémir et d'en redemander plus alors que des sons confus s'échappaient de sa gorge malgré tous ses efforts pour les étouffer.
– Regardez-moi ce cul bien rouge! Dit-il d'un air moqueur.
Il fit glisser sa main entre les cuisses de la femme et commença à caresser son clitoris et à introduire ses doigt en de lents et rudes va et vient.
– Hummm ! Reprit-il. Il faut vraiment être une petite pute pour aimer autant se faire claquer lecul ! Elle est toute mouillée! Dis-moi, t'es une salope ?
– Oui ! Répondit-elle.
– Oui qui ? Cingla t-il.
– Oui maître.
– Je préfère ça. Dit-il en continuant d'alterner caresses et coups. Tu es ma salope. Je peux fairece que je veux de toi.
– Oui !!!
– Dis-le !
– Je suis à toi ! Toute à toi ! Je suis ton esclave !Fais moi ce que tu veux ! Gémit-elle en se perdant dans un plaisir coupable.
Elle n'avait, alors, plus aucun contrôle. Son lâcher prise dépassait toute raison et elle se délectait de cette sensation de ne plus s'appartenir en devenant l'objet de l'autre. L'homme la releva alors et lui fit prendre place dans le centre de la pièce, puis retourna s'asseoir confortablement.
– Déshabille-toi. Dit-il avec un petit sourire condescendant.
La femme hésita un peu, mal à l'aise de se retrouver aussi exposée. Elle triturait ses doigts nerveusement et sa tête était baissée pour cacher les rougeurs qui s'installaient sur ses joues. Ce sentiment de honte lui faisait tourner la tête et lui donnait envie de se soumettre encore plus.Un regard vers l'homme la décida à obéir. Il la fixait avec une lueur indéchiffrable dans le regard. Un sourire amusé avait pris place sur son visage, il semblait se délecter du pouvoir qu'il avait sur elle. Elle retira ses vêtements, un à un en prenant tout son temps. D'abord sa jupe, qu'elle fit glisser doucement sur ses jambes, puis son débardeur qui finit sur le sol dans un léger bruit de tissus suivit de sa culotte.
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Qui est le maître?
General FictionAttention! Ames sensibles s'abstenir! OS BDSM bien croustillant, présence de langages grossier, humiliations, violences physiques et verbales (consenties). Une scéance BDSM entre une femme et son maître.