Prologue

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« Vous n'etes pas si malheureux que vous ne le croyez » !!! Et croyez moi si je vous le dis. Mon histoire vous semblera directe extirpée d'une vielle comptine de grand-mère. Parallèlement à ce que vous vous dites fort probablement en ce moment, il m'est arrivé une série de malheurs dans ma petite vie, mais je ne suis pas malheureux pour autant. N'allez pas croire qu'il faut quelques événements porteurs de malheur pour etre malheureux -non, il m'en faut bien plus de choses malheureuses pour en arriver là. Les gens ont tendance à me qualifier d'homme fort, au mental d'acier... Ma capacité de me contenter de ce que j'ai et de me résigner à accepter tout ce qui m'arrive m'a valu ces qualification tout autant héroïques que démesurées à mon niveau.
Car que sais-je ? ce fort mental qui est la mienne je n'en suis probablement que dépositaire et le gardiens le plus éphémère.

« Moyennant quoi, si vous n'avez pas une chose, quelle qu'en soit la nature et quoiqu'elle soit sinéquanone à votre vie, réjuissez vous en car cela révèle la vrai valeur de votre personne et des choses dont vous disposez, que vous en soyez conscient ou pas. Le bonheur n'est qu'un subterfuge créé par les penseurs pour duper la masse, penseur qui ne vous en diront jamais la vrai nature pour la simple et bonne raison qu'ils ne savent pas de quoi il est réélement question. Néanmoins, bien que le bonheur soit incontestablement le fruit d'une espèrence se rapprochant plus de l'illusion que de la vérité, le malheur se rapprochant le plus de cette dernière, qui finit toujours par se heurter au réél, rien n'est autant plaisant que de comtempler la splendeur des surprises, des rencontres et des événements qu'offre le chemin qu'empruntent les désireux d'y accèder.
Nul n'est en mesure de s'approprier cette vie s'il n'est celui qui y prend du plaisir et ce, sur toute la ligne, car après tout, une bonne dose d'endorphine est toujours bonne à prendre. De la souffrance à l'ennuie, n'otez pas de votre vie quelques gorgées de positivisme. Donc arretez de jouer les victimaires, le bonheur, de par son aspect illusoir, vous conduira vers une libération des griffes de cette souffrance qui n'est aussi nul autre que le fruit de votre imagination. L'heure est à vous de vous extirper de cette prison dans laquelle vous plongent ces idées obscurantistes et d'avoir un point de vu dissonnant sur ce bonheur dont vous ne finirez par vous rapprocher qu'en cessant d'y croire. Le bonheur, cherchez le, mais ne nourrissez pas l'espoir de le retrouver ailleur que là d'où il a pris naissance : votre esprit ; allez chercher ceux qui y ont toujours cru et qui y croyaient encore, cherchez les, ils ont depuis fort longtemps rejoint leurs ancètres ; le même sort attend ceux qui s'atèlent à les y suivre. ».

Et nous avons tendance, quant il nous arrive malheur, quelle qu'en soit l'essence, à accuser à tors ce que nous appelons communement « destin ».

-Comment ça le destin ?!!! -Existe-t-il vraiment ? «...» des questions dont les réponses seront surement semblables : mais biensure que oui !!!

Cependant, je ne peut me résigner qu'à emprunter cette interrogation dont le sens n'a d'égale que la splendeur de l'introspection à laquelle elle nous induit, à Marcus CICERON : « le destin qui s'applique à tout le monde, peut-il etre néfaste à un seul ? ». Waw !!! actuellement j'ai une fol envie de bannir la personne que j'étais au moment ou je me plaignait et m'apitoyer sur mon sort.

De ce fait, ne pas porter des accusations mensongères à ladite destin donnerait son lustre à la prospérité durement gagnée. Alors, bien évidemment, je vous raconterais ici mon histoire. Mais ignorer les événements qui se sont passés avant ma naissance serait synonyme de rester éternellement enfant avec les vestiges d'une mentalité primitive et infantine. - Eh oui ! les événements malencontreux ne sont pas choses nouvelles chez moi, j'irais même jusqu'à dire qu'ils ont précédés manaissance et que je suis venu au monde pour les voir se perpétuer dans la longueur démesurée de la fin de l'éternité . Car « l'éternité c'est long, surtout vers la fin » Woodie Allen Et après tout, la fonction propre de l'homme est de vivre et non pas de profiter des choses merveilleuses que lui offre la vie et de s'en délecter. La vie demeure le plus grand bien ; ce que la vie nous offre de plus précieux à bien des égards qu'elle-même, c'est d'etre la notre car n'y étant pas obligée.

Une histoire, je vais vous en raconter une bonne, une de celle que l'on ne vous raconte pas à tout bout de champ, une de celles qui vous serviront de miroir et vous permettrons de vous identifier.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 21, 2022 ⏰

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