Il est 13h12, j'installe la table, et je met une pizza au four, puis je met un petit minuteur de cuisine sur 12 minutes et je vais m'assoir dans ce qu'il me reste de canapé, j'allume la télé, n'importe quel télé film suffira, on est vraiment bi toc, toc, toc. . . . . Étrange, un bruit provient de la fenêtre.
A ce moment défonçant la porte un colonne de police avec à l'avant un porteur de bouclier, et plusieurs autres équipés de pistolets mitrailleurs s'engouffrent dans la petite pièce, puis la baie vitrée explose en miettes pour laisse s'introduire une seconde équipe de même constitution, l'homme assis là, dans son canapé n'a lui pas le temps de réagir et est spectateur de cette scène, mais il sais ce qu'il se passe, il sont là pour l'éliminer, le faire taire, que personne ne puisse écouter se qu'il sache de si important.
Les policiers tous masqués l'installe à la table et l'interrogent sans lui laisser de répits pour savoir ce qu'il pourrait bien cacher de si important, ils commencent a le torturer en le brulant avec des mégots de cigarettes, l'électrocute avec leurs tasers, lui arrache les ongles un à un, l'ébouillante; mais rien, il ne lâcheras rien, une bonne odeur remplis la pièce.
L'homme se dit "je peux encore tenir", l'un des policiers énervé de ne pas avoir de réponse, prends une éguille, la présente devant les yeux de l'homme et lui cris "TU VAS PARLER MERDE, SI TU NE DIT RIEN TU NE VERRAS PLUS RIEN NON PLUS".
Drrriiiiiing le minuteur sonne, coup de froid, l'ambiance est glaçante ici, personne ne bouge, et ces hommes à la carrure incomparable, se troublent doucement du point de vue de l'homme, et pendant que ces hommes disparaissent, toctoc toctoc le bruit continue, la baie vitrée n'est plus en miettes et c'est un petit oiseau qui tape son bec contre celle-ci, l'homme regarde ses mains et ses ongles n'ont pas bouger, sur sa peau il n'y a pas plus ni brûlure, ses bras ne semblent plus ébouillanté.
La pizza est prête mais l'homme lui n'est prêt à rien, traumatisé par ce qu'il vient de ce passé, ne comprennent pas comment ces hommes qui sont entrés brusquement dans son salon on pu disparaître sans laisser de traces, il se lève brusquement en laissant sa chaise tomber au sol, et s'écrit: " mais c'est évident c'est encore une technologie secrète du gouvernement pour cacher leurs méfaits", puis il se dirige vers le four pour retirer sa pizza un peu trop cuite, tout en étant content d'avoir compris ce qu'il venait de lui arrivé.
Bon au moins je ne leurs ai rien révélé.