Renaissance

Une nouvelle vie ?

Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent en grinçant en laissant T/P dans un sentiment d'effroi.

Le garde recommença a marcher dans un couloir cette fois-çi beaucoup plus sombre. Les murs étaient fait de métal recouvert d'impacts de balle, les néons au plafond clignotaient et bourdonnaient, le sol était empli d'un liquide noirâtre et une odeur pestilentielle régnait içi.

Puis le garde s'arrêta devant une porte qui affichait le numéro trois, il passa son badge sur un récepteur puis la porte se déverouilla. Il y entra et déposa T/P sur un fauteuil en acier aussi glacial que le froid arctique. Il lui enleva les menottes et immédiatement des sangle en fer lui bloquèrent les bras, les jambes et la tête. Sa respiration s'accéléra à cause stress et elle leur dit en pleurant :

- S'il-vous-plaît ! Je veux rentrer chez moi !

Le petit homme a lunettes se mis devant elle et lui dit en la regardant droit dans les yeux :

- Je nuis navré ! Mais la transformation a déjà commencé. Vous aller devenir la meilleure version de vous même.

Subitement une machine se posa sur son crâne, elle bourdonnait dans ses oreilles ce qui lui était insupportable. Panqiuée elle cria :

- Nan ! Je vous en supplie !! Je veux rentrer chez moi !!

Puis le petit homme lui répondit :

- Désolé T/P ! Ça ne tue pas mais on ne peut pas dire que ça chatouille.

Et soudainement le machine se mise en marche, et lui envoya des dizaines chocs électriques dans la tête. Elle hurlait de douleur en les suppliant... d'arrêter la machine ! La douleur était tellement insupportable qu'elle planta ses ongles dans sa peau jusqu'au sang. Elle hurlait tellement qu'elle en avait mal à la mâchoire, ses yeux étaient empli de larmes de douleur, ses bras et ses jambes se crispaient a s'en faire des crampes.

Et puis, la machine s'arrêta puis se détacha de sa tête. Son expression changea du tout au tout. Sa mâchoire se détacha, ses membres se détendèrent et ses larmes s'effacèrent.

Les sangles s'enlevèrent, elle ne bougea pas, ne tenta pas de s'échapper, son sourire s'etait effacer, son regard devenu aussi froid que la glace et elle prononça une phrase :

- Готов к бою !
(Trad: Prête à se battre !)