Mariée À L'ex D'un Gay [ RÉÉCRITURE ]

chapitre XI

Deanna

Je n'en reviens pas qu'il me fasse ça, je pleure toutes les larmes de mon corps là..

Je suis en train de perdre mon mari. Bordel ! Mes larmes remontent à la surface de mes yeux floutant les objets se trouvant devant moi. Il n'a même pas voulu manger.

Je remballe rapidement la nourriture, je monte dans notre chambre, il dormait déjà.

Je suis montée et je me suis couverte, il avait le dos tourné.

Son téléphone vibre et après hésitation je le prends et ouvre la notification.

Encore un autre message : le drame ne fait que commencer dans ta vie. bienvenu dans ce nouveau chapitre de ton mariage, j'espère que ça te plaira.

Mon cœur s'est resserré et j'ai eu de la peine pour lui.

Peut-être qu'il avait des problèmes mais il ne voulait pas m'en parler. Ce qui me fait encore plus mal.

Je lui fais une bise sur la joue et je m'appuie à son dos pour faire une cuillère et je mets ma main autour de lui... Au moins il m'a laissé me serrer contre lui.

****

L'alarme me réveille et il prenait son bain. J'ai réglé l'alarme plus tôt pour savoir quand est-ce qu'il sortait avant moi.

Je descends rapidement et je fais son petit déjeuner. Je fais la table et je monte pour l'aider à s'habiller. Il essayait de fermer ses manchettes mais il n'y arrivait pas.. je souris

Je prends son bras

- quelle femme je serais si je n'aidais pas mon mari à s'habiller..

Ibrahim - merci mais je peux le faire seul.

Il retire son bras et essaie de fermer lui-même mais il n'y arrive pas. Je reprends son bras de force et je ferme les deux manchettes.. je lui souris et il s'en va.. il prend sa malette et descend.

Je le rejoins en courant pour le convaincre de prendre son déjeuner. Il pose sa malette au salon et il a pris l'appel de Terence.

Je prends son plateau et je l'emmène là où il était. Il regarde la nourriture et il se presse vers la porte, je dépose le plateau et je le rattrape.

- prends au moins ton déjeuner s'il te plaît mon cœur

Ibrahim - je n'ai pas faim.

- qu'est-ce que tu racontes Ibrahim, hier tu n'as pas mangé. Tu ne peux pas aller au travail le ventre vide. S'il te plaît mon chéri prends au moins quelque chose.

Je prends ses deux mains, je le prends pour l'emmener au salon mais il retire ses mains des miennes. J'étais brisée mais je me suis ressaisie

Ibrahim - je suis pressé. Je dois y aller.

- il n'est que six heures

Ibrahim - le travail commence à sept heures trente. Ne sois pas en retard aujourd'hui, si tu veux garder ton poste.

Terence arrive et ils partent. Il n'a même pas pris son repas.. je vais le lui emmener de force, il ne me connait pas.