Flowers Burn For Fire (Nouvelle Version En Cours)

Le commencement.

" -Allume la lumière Isaïa s'il te plaît.
- Évidemment mademoiselle Aneth, tout de suite."
La lumière s'alluma.
" Peut-tu me dire quelle heure il est ?
- Il est 2h30 du matin, comment vous sentez vous ?
- Fatiguée..."

Je m'appelle Abelia Aneth. Isaïa est une intelligence artificielle. J'ai 16 ans, je vis en l'an 4056 dans la ville d'Albizia, un pays oublié du monde pour son fonctionnement dangereux et instable. Notre pays forme une horloge, une horloge à douze parties, notre pays a 12 villes. Albizia est composé de villes inspirée par des fleurs car ce qui fait que nous pouvons vivre. Chacune d'elles poussent dans chaque ville qui en porte le nom, chaque ville est séparé. Nous ne pouvons pas traverser la barrière technologique qui les séparent sauf si bonne raison. À Albizia, six villes travaillent pour les six autres, il y a comme villes "secondaires" Hortensia, qui est la mienne, Bleuet, Aubépine, Lys, Tournesol et Lavande. Et comme villes "principales" nous avons Rose, Orchidée, Pivoine, Marguerite, Pissenlit et Coquelicot. Dans les villes principales les fleurs sont superficielles car ils ne peuvent pas s'en occuper ils n'en ont pas le courage.

Pour ne pas avoir à travailler il faut juste avoir de la chance à la naissance, si on te juge trop "laid" ou trop "étrange" ou alors même si tu es magnifique mais que tu as un seul défaut une ville secondaire t'attend en fonction de ton défaut. Pour aller dans une ville principale il faut simplement être parfait ou avoir des parents suffisamment riches pour qu'ils puissent payer la personne qui décide pour toi à ta naissance. Je n'ai pas une, mais deux particularités qui n'ont pas plu à plusieurs personnes, première chose, j'ai un frère jumeau ce qui est rare et étrange et nous sommes tous les deux roux comme la présidente. C'est une couleur extrêmement rare et qui ne signifie rien de bon, de ce qu'on m'a dit. J'ai eu de la chance je suis tombée dans la même ville que mes parents, certains n'ont pas cette chance et sont obligés d'être adopter par des personnes de cette même ville. Comme mon amie Lilas Câprier. Elle est seule avec des personnes qu'elle ne connaît pas, ils sont quand même gentils. Ils s'appellent Rose et Léon. Le régime politique de cette ville n'est pas une République j'en suis certaine on essaie de nous faire croire le contraire depuis toujours mais je suis presque certaine que ce soit une dictature. Personne n'a son mot à dire. Oliver et moi voulons montrer la vérité mais en tant qu'adolescent c'est impossible.

Personne ne nous croit, et c'est normal après tout.

« - Mademoiselle Aneth vous feriez-mieux de vous rendormir, vous serez vraiment fatiguée pour travailler demain et vous risquez de réveiller votre frère endormi à coté.

- Merci, Isaïa c'est un bon conseil.

- J'éteins les lumières.

- Allez-y

Je me rendormis en attendant le lendemain matin et pensant au travail qui m'attend.