Love Me Like A Love Song

1. Enfance d'étruite

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*Je n'arrivais pas à fermer les yeux, j'avais peur, peur de ce qui allait rentrer dans ma chambre comme chaque nuit maintenant.

Soudain, un bruit de pas se fit entendre dans le couloir, puis devant ma porte. Je ne pouvais plus rien faire à partir de maintenant...

- Salut ma puce... Dit en murmurant la personne dans ma chambre.

- Papa... s'il te plaît ne me fais pas de mal... Dis-je d'une voix tremblante.

- Chuuut, ne fais pas de bruits maman dort à coté. Tu sais très bien que je n'aime pas quand tu parles.

Il se trouvait maintenant sur mon lit, assis à coté de moi. Ma chambre était plongeait dans le noir, seul la faible lumière des lampadaires de ma ruelle reflétait le mur rose face à mon lit.

Sa main droite caressait ma joue puis commençait à descendre plus bas, d'abord sur mon cou, puis sur mon torse, et enfin sur le début de mon entre-jambe protégé par mon bas de pyjama blanc Hello Kitty. Mon cœur ratait des battements, j'étais en manque d'oxygène.

- Passons aux choses sérieuses maintenant ma puce... Dit mon père en se levant brutalement.

Il commença à enlever son haut qui au passage ébouriffa les seuls cheveux brun qui lui restaient et maintenant, son bas de pyjama avait rejoint son tee-shirt noir sur le sol de ma chambre. Il n'était plus qu'en caleçon gris maintenant.

Je respirais de plus en plus vite, je tentais de me calmer mais la panique avait déjà le pouvoir sur mon corps, comme cet homme qui maintenant s'était mit à califourchon sur moi.

Il pencha sa tête vers mon visage crispé et il me regardait de ses yeux de lion prêt à attaquer sa faible proie. Ses iris noir me fixaient, il ne clignait pas des yeux et ne bougeait pas, jusqu'au moment où il rapprocha ses lèvres de mon oreille pour me chuchoter d'une voie suave :

- Ne bouge pas et ne cris pas Diane, je ne vais pas te faire de mal.

C'est ce qu'il me disait à chaque moi mais ça finissait toujours par me faire mal. Je sais comment ça va finir mais je garderai le silence jusqu'à que son corps rejoigne le lit de ma mère qui elle doit dormir paisiblement comme à son habitude.

Sa main droite vint directement après son mensonge, rejoindre mon bas de pyjama qu'il vint aussitôt enlever. Me voila en culotte, incapable de bouger, faible, soumise à mon propre père.

- Je vais commençer doucement d'accord ? Ajouta mon géniteur

Je ne disais rien, ne bougeais pas comme si le monde autour de moi s'était mit en pause. Je voulais que ça se finisse au plus vite.

De ses doigts, il souleva mon sous-vêtement et commença à toucher mon clitoris. Il le massa en me regardant, je sais qu'il espérait une réaction de ma part, alors c'est ce que j'ai essayé de faire, mais pas de la façon qu'il voulait. J'ai essayé de me débattre.

- Arrête ! Lâche moi... Je veux plus que tu me touches ! Dis-je les larmes aux yeux

- Diane je t'ai dis quelque chose toute à l'heure, fermes moi ta gueule bordel tu vas réveiller ta mère ! Je ne vais pas te faire de mal.

Mes larmes commençaient à quitter mes yeux pour prendre place sur mes joues. Je n'avais plus la force de dire ni de faire quoi que se soit. Ça ne servait plus à rien, alors je l'ai laissait faire. Je l'ai laissé prendre possession de mon corps, pour la 6ème fois.
Sa main se mit à descendre encore plus bas et s'arrêta à l'entrée de mon vagin qu'il caressa avec le bout de son majeur.

- Tu vas aimer ne t'en fais pas.

Sur ces mots, il me pénétra de son majeur et commença à faire des vas et viens.
J'avais mal, je fermais les yeux en espérant que ça ne soit qu'un cauchemar et qu'il va bientôt se terminer.
Soudain il arrêta son action pour descendre le seul vêtement qui lui restait, son caleçon. J'étais tétanisée, je ne voulais pas subir ça.

Pourquoi moi ?

Pourquoi faire subir ça à son propre enfant ?

Quesque j'ai fais de mal pour qu'il me fasse ce genre de chose ?

Pourquoi il veut me faire du mal ?

- Je vais me toucher pendant que toi tu te masse en bas d'accord ma puce ? M'expliquait-il de sa voix roque.

Il ne me laissa pas le temps de répondre même si j'en étais incapable, qu'il me prit la main droite et me la dirigea sur mon clitoris.

- Vasi fais toi du bien, il y a que toi et moi n'est pas honte. Tout le monde a le droit à son plaisir perso.

Je le regardait avec dégoût mais lui me regardait avec envie, avec du plaisir, comme si ce qu'il faisait était normal, comme si il en avait toujours eu envie.

Alors je l'ai fais, j'ai commencer à faire des mouvements circulaires sur mon clitoris. Je ne ressentait aucun plaisir, aucun. Mais je le voyais lui en avait du plaisir, ses yeux se fermaient puis se re ouvraient pendant qu'avec une main il se masturbait.

Il regarda ma main qui était sous ma culotte pendant de longues secondes, avant que d'un coup sec il descende le tissu qui me protégeait de lui et continua des mouvements sur son engin.

- T'aimes ça hein ma puce ?

- Non papa j'aime pas du tout, on peut arrêter s'il te plaît...

- Pas encore ma puce il faut attendre que le liquide sorte.

Mes larmes continuaient à couler le long de mes joues et de mon cou. Je me sentais salie, dégelassent, répugnante.

- Papa... Je veux arrêter...

- Ne parle pas Diane.

Il n'aimait pas quand je parlais pendant ces moments là. J'avais le droit d'ouvrir ma bouche que pour gémir.

- Maintenant on va faire mieux. Dit mon père en se mettant à califourchon sur mon bassin.

Il commença à approcher son penis de mon intimité.

Des goûtes perlaient sur mon front, j'avais chaud, je voulais partir, m'enfuir et me blottir dans les bras de ma mère. Je voulais le tuer, me venger.

Ma respiration devenait de plus en plus difficile à gérer. Mon corps était figé, emprisonné, faible.

Soudain, une voix féminine se fit entendre dans la maison. Une voix que je connaissais peu trop bien.

- MARC ? QUESQUE TU FAIS ?

- J'ARRIVE MON AMOUR, JE LISAIS DES HISTOIRES À DIANE POUR L'ENDORMIR ! Cria mon père

Il reposa son regard sur moi et d'un seul coup m'agrippa la mâchoire...*