Suite de mon premier Amixem x reader
Ouais je sais, ça se passe absolument plus en Italie mais bon...
Y'a pas vraiment de synopsis à faire... J'espère que ça vous plaira
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La fête battait son plein. Les jeunes mariés s'éclataient sur la piste de danse. Je venait d'ailleurs de m'extirper de cette dernière, complètement fatigué. Il était maintenant 1h00 du matin et mon corps me faisait bien sentir sa fatigue.
Je me glissa à l'extérieur, en proie à un peu d'air frais. Et je fut bien servis, il faisait plutôt frais mais, malgré le frisson qui me parcourut, je ne m'en plaignais point.
J'avançais jusqu'à un arbre à une trentaine de mètre et m'assis sur la balançoire accrochée à une branche solide du chêne centenaire.
Alors que je me faisais la réflexion que pour la première fois de ma vie, tout allait bien et que je me sentais enfin pleinement heureuse, des bras vinrent me serrer contre quelqu'un derrière moi.
Je reconnus évidemment le parfum et je souris un peu plus à la présence de l'homme que j'aime.
J'avais conscience que le bonheur est éphémère, qu'il se dégrade, puis revient, puis repart, puis rev- Ok j'arrête ! Je pense que vous avez compris le principe...
Mais une chose était sur, tant que Maxime était avec moi, peu importe les problèmes que je rencontrerais, je ne serais jamais malheureuse...
T/P : Je t'aime...
Je l'entendis étouffer un rire. Je redressa alors la tête en la cala contre son torse pour le regarder dans les yeux.
T/P : Je rêve où tu te fous de ma gueule ?
Dis-je en rigolant car je savais pertinemment que ce n'était pas ça.
Maxime : J'aime juste cette façon que tu as de me le dire, toujours sans contexte...
T/P : Il y a un contexte où je suis censé ne pas t'aimer ?
Maxime : Non, tu vois ce que je veux dire ?
T/P : T'inquiètes, je te fais marcher... J'étais entrain de me dire que, peu importe ce que l'avenir me réserve, je savais que tant que tu étais auprès de moi je serais quand même heureuse...
Il sourit et desserra légèrement son emprise de moi. J'en profitas pour descendre de la balançoire et de le serrer à mon tour dans mes bras. Il ne se fit pas prier pour me serrer en retour et il vint poser sa tête tout près de ma nuque.
Maxime : Je me suis fait la même réflexion... Tant que je t'ai, je serais l'homme le plus heureux du monde. Vient, j'ai un endroit à te montrer...
Je me détacha de lui, le regardant avec un regard interrogatif. Il se contenta de me sourire et de prendre ma main avant de m'éloigner un peu plus de la salle des fêtes. Alors que nous marchions, il s'exclama :
Maxime : AU FAITES ! Thomas et Etienne !
T/P : Oh t'as eu des nouvelles ?
Maxime : Ils ont envoyés cette photo sur le groupe WhatsApp juste avant la cérémonie !
