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Abel en avait assez d’être mis de coté, peut importait les efforts qu’il employais. En y repensant  il pouvait revoir son sourire et sa bonne humeur depuis qu’ils avaient atterri a Koriad, et pendant la fête.

Elle était heureuse d’être la, il le voyait, et c’est exactement ce qu’il espérait en venant ici. Alors pourquoi a chaque fois qu’il faisait un pas vers l'avenir elle en faisait dix en direction du passé.

Abel voyait bien qu’elle se forçait a demeurer triste constamment comme si c’était cela sa nouvelle identité. Comme si après Karim il n’y avait plus rien pour elle dans ce monde.

Sauf que même elle ne peut renier ce besoin de vivre et d’être heureux, surtout quand tout le monde autour de vous l’est aussi.

Cette entêtement était ridicule et il comptais bien le lui démontrer par tous les moyens.  Une fois la porte fermer par ses soins, Abel se rapprocha d’elle alors qu’elle retirait les fleurs sur le lit.

L’idée qu’on puisse croire qu’il soit fiancé n’était pas si absurde, et sa ne lui aurais posé aucun problème de dormir dans cette chambre avec elle, l'embrasser,  l'enlacer, l’avoir prêt de lui-même sans lui faire l’amour.

Surtout quand il prit ses doigts entre les siens pour les serrés, elle était si petite comparé a lui. Dans ses moment la, l’envie de la posséder devenait si brutale qu’il avait du mal a reprendre ses esprits.

Abel ignorait comment la situation avait pu tourné ainsi. Il ne pensais pas l’avoir bousculer si fort, mais voila qu'ils se retrouvaient l’un sur l’autre.

Il c’était rattraper de justesse pour ne pas l'écraser de tout son poids, ses bras enfoncer dans le lit de chaque coté de sa tête pour le soutenir. Leur regard c’était accroché l’espace d’une seconde avant qu’elle ne ferme les yeux, refusant a nouveau tout contacte.

Tout ce qu’il voulais c’était qu’elle arrête de l'éviter et de fuir l'évidence. Quelque chose se passait entre eux, quelque chose qui était née le jour même de leur rencontre.

Cette nuit la ou il l’avait découverte a moitié nue dans sa maison, sans savoir qui elle était.

Il n’avait pas toujours été chaleureux, et elle le lui avait bien rendu, mais le temps avait passé et même elle devait se rendre compte de se lien entre eux qui ne cessait de grandir.

Habillé dans un sari rouge, sa peau mate, ses cheveux noir et ses lèvres rose contrastait avec le pur lin des draps parsemé de fleur. Un spectacle dont il ne pu se détacher, Dayanah ressemblait a une rose a n’en pas douter, une magnifique rose volage.

Peut importe a quel point vous désiriez la cueillir, il vous l’était interdit. Abel savait qu’elle lui était interdite, mais a ce moment précis la seule chose qu’il voyais, la seule information qui arrivait encore a prendre forme dans son esprit c’était elle, Dayanah. Et a présent il ne pouvait plus refreiner le désir qu’elle lui inspirait.

—      Tu va bien ? Je t’ai fait mal ?

Elle secoua la tête, les lèvres pincer.

—      Je vais bien alors…lève toi maintenant.

—      Je le ferais seulement si tu me regarde avant…

—      Non…

—      Pourquoi refuse tu toujours de me regarder dans les yeux ?

—      Parce que…je t’en pris Abel lève toi

—      Je ne te ferais aucun mal, alors ouvre les yeux.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant