Prologue

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Fitz

J'ai n'ai pas grandi dans une famille de bourgeois, ma mère et mon père était très aimant envers moi. Il pensait pouvoir me protéger du monde extérieur.

C'était perdu d'avance. Le manque d'argent se voyait au fil des années. Malgré le faite d'avoir était dans une famille aimante l'indépendance était présente.

Ce n'est juste pas la vérité. La seul vérité et que le monde, la vie n'est pas rose mais plutôt noir. Il ne faut pas vouloir la rendre noir, essayer de la rendre rose.

Je n'ai rien fais pour l'effacer. Juste passer à côté.

Mais la pire choses que j'ai pu faire je pense dans toute cette histoire c'est en vouloir à ma mère.

Mon père est alcoolique ma mère subissait.

L'excuse que le monde lui donne est la maladie mais ça a commencé par un verre, une addiction et ensuite la «Maladie».

L'enfer que nous les familles on peut vivre personne ne s'en soucie. Personne ne se soucie de ce que nous on peut pensé.

De s'être fais battre, violence physique, violence verbale. Toute sorte de violence. S'attaquer à tout ce que tu possèdes.

Je ne dormais pas la nuit, par peur qu'il me tue, qu'il me fasse du mal, qu'il s'en prenne à moi. Que quelques choses se passe.

Chaque verre était celui de trop.

Le problème avec un père alcoolique c'est qu'un père alcoolique n'existe pas. C'est simplement un alcoolique qui n'a pas su rester sobre le temps d'élever son enfant.

L'enfer que j'ai vécu.

Se réveiller, le voir dormir. Aller en cours le voir bourré ou endormi. Ne pas voir son père ou le voir mais que ce n'est pas le vrai. Une image de lui même.

Une image fausse. L'image totalement fosse de lui.

J'en ai des traumatismes. Depuis que je suis né. Il était violent s'en ai pris à ma mère et à moi. Ma mère a subi ses coups, ses insultes, ses menaces. Toute sa colère. Elle n'a était épargnée de rien. Rien ne lui a était épargné.

Elle s'est tue. Elle ne disais rien. Ils savaient et n'ont rien fait. Elle est restée puis m'a eu moi.

Elle est morte de ses coups ses dernières paroles et de m'occuper de mon « père » pour elle, malgré tous ça elle l'aimait.

J'aimais et j'aime ma mère, elle veille sur moi. Je fais donc ce qu'elle m'a demandé. Il a attrapé ce cancer il y a cinq ans j'ai du m'occuper de lui et tout laisser tomber. J'attend de voir l'évolution a l'heure d'aujourd'hui.

Je gagne de l'argent en étant bodyboard, j'ai sacrifié ma vie pour lui. Je dois payer ses chimiothérapie et ses traitements. Il ne m'en pas redevable. Je croyais vraiment qu'il allait l'être. J'espérais après lui avoir tout donné durant ces cinq dernières années.

J'ai des rêves qui demandent qu'à vivre, je croyais être compris mais je voulais que les autres le comprennent. Je continuerai à avancer dans ce tunnel. Même si je ne vois pas la lumière qui est au bout car c'est pas la fin qui compte, c'est le chemin à la clé.

Mon chemin mon histoire je la vis même si elle est étrange.

Je suis toujours vivant et mes démons aussi.

ADDICTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant