Chapitre 4: L'ange noir

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Je reprend conscience avec énorme poids sur moi, physiquement parlant. Mon corps est engourdie et ma tête souffre, le bip permanent qui redonne dans toute la pièce n'améliore en rien mon état. J'ai le crâne qui me fait grimacer à chaque clignement d'oeil.

Je me redresse avec une douleur dans tout le corps. MA descente pressé du camion en est pour quelque chose. La pièce dans lequel je me trouve est blanche, elle me rappelle quelque chose dont je n'arrive pas à me souvenir. Il y a une porte sur ma droite entourée de mur vitré à partir du milieu, le tout donnant sur un couloir peu éclairé. Je veux me frotter la tête mais quand je lève mon bras quelque chose me gène. Un tuyau assez fin passe sous ma peau, une petite goutte de sang perle à l'extérieur.

Qu'est ce que c'est que cet endroit. Mon lit est plutôt confortable et je suis même entourée de barrière. La machine qui émet le son insupportable est derrière moi.  Ne pouvant pas l'atteindre sur le lit je tente de sortir. La barrière bloque mon passage et je ne sais pas comment l'ouvrir, elle est bloquée.

Je passe donc au dessus, mais il y a un problème mes jambes sont étrangement immobile. Elles son toutes molles et insensibles. Seul mes bras travail mais pour sortir du lit ils n'ont aucune utilités, il me faut mes jambes. Alors que mon corps est déjà à moitié passé je perd l'équilibre et m'écroule sur le sol emportant dans ma chute le matériel.

Mon bras perforé du matériel médical me fait mal à l'endroit où le tube pénètre ma peau. Et la barre métallique sur laquelle il est lié tombe avec les poches de quelque chose. Je repousse tout ce qui me retombe dessus en réalisant que je porte une blouse blanche de mauvais goût.

J'ai une sensation étrange dans le bas de mon corps. Enfaite j'ai comme aucune sensation, c'est plutôt comme quand il fait très froid et que l'on ne sens plus son petit orteil. J'ai l'impression de flotter. La porte derrière moi s'ouvre et quelqu'un pousse un juron. Je n'ai pas le temps de me retourner que des mains passent sous mes bras.

Je suis soulevée avec facilité et reposé dans mon lit par un jeune homme. L'homme en question me regarde de ses yeux foncé et en colère. Il a la peau mate et les cheveux brun.

Mon corps s'arrête un instant puis quand mon cerveau à pris le temps de correctement examiner le garçon je suis sur que ce n'est pas lui. Cet homme est le portrait craché de Pablo. Son visage, ses cheveux, sa taille, sont à l'identique du frère Garcia.

La seul différence sont ses traits, plus tirés, son visage montre quelques années de plus que Pablo. J'en déduis que la personne devant moi n'est autre que le deuxième frère, Rafaël Garcia. Le troisième encore inconnue à mes yeux. Le frère caché, comme disait les Roy. Celui qui ne se montre pas mais qui règne.

Finalement son regard s'adoucie, il me regarde avec compassion et une certaine gentillesse. Toutes mes émotions me retombe dessus et je me met à paniquer. Je tente de me reculer mais mes jambes ne fonctionnent toujours pas.

-Calme toi, il s'indigne d'une voix grave.

Son ton est cassant et froid le contraire de son visage.

-Laissez moi partir s'il vous plait..., je supplie.

Il soupire et se recule ne répondant aucunement à ma recommandation. Je le regarde ramasser ce qui est tomber incapable de sortir de ce lit par moi même. Ses gestes sont lent et précis, il possède une grande prestance.

Je pense qu'il est plus grand et imposant que son frère, selon moi il à la même carrure qu'Elio. Enfaite il me rappèle son cousin, Luciano, il est brun et à le teint mate égale à un Mexicain de souche.

-On a de beau projet pour toi, il dit en retirant la barrière pour s'asseoir ou bout de mon lit., Au début mes frères ton bien cru avec ton histoire de chef. Mais nos sources nous on prévenu, peut être un peu tard, de ta réelle présence. Et surtout elles nous on bien dit ton statue auprès des Roy, où devrais je dire d'Elio.

Avant toi Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant