Ok j'avoue je publie pas très souvent mais j'ai une excuse cette fois. J'avais perdu ma feuille ou tout était écrit et flemme de tout réinventer donc j'ai chercher et au final elle était glissée sous mon lit rip.. bref je suis une merde je sais oups. Pour me faire pardonner on fait un peu de point de vu d'Inui parce que j'ai envi voilà. En plus on en apprend plus sur la famille de fdp des bro Miu et koko (vous inquiétez pas j'me ferais pardonner avec des chapitres mimi 💃)
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J'avais très bien compris les intentions de Miu. Elle préférait garder cette relation pure et basée sur un lien mentale le plus longtemps possible. C'est pour cela que j'ai décidé de l'éviter le plus possible en cours.
Je portais le pull qu'elle m'avait secrètement rendu hier. Elle l'avait aspergée de son parfum naturel et son odeur douce me calmait.
Alors que j'étais plus occupé à sentir le vêtement en polyester que de prêter attention au cours de maths, quelqu'un frappa à la porte.
"Rentre kokonoi, rentre" lâcha le prof totalement désespéré.
"Hein?"
Pensais-je en tournant la tête vers le bureau de mon ami juste à côté du mien.
"J'avais même pas remarqué qu'il était pas là!"
Au même moment, la porte s'ouvrît sur un koko à bout de souffle.
Prof- Je suis plus habitué à voir ta sœur arriver en retard. Si elle décide de venir en cours évidemment..
Koko- vous pensez bien.. c'est encore sa faute..."
Le professeur lui montra sa place a l'aide du bout de son crayon pour lui indiquer d'aller s'asseoir, ce qu'il fit sans demander son reste.
Il se déplaçai rapidement vers moi en grognant croire Miume, laissant glisser une vive salutation entre deux insultes.
-Koko tu sais tu ne vas pas mourir parce que tu arrives une fois en retard.
Il tourna violemment la tête vers moi en me fixant de ses yeux perçants avant de glisser calmement son bras autour de mes épaules.
Koko- "time is money" mon ami. Dans ce monde t-
Il fut couper par le prof qui lui lançait un regard meurtrier. Il décroisa ses jambes et enleva son bras de mon cou, ce qui me provoquai un petit rire étouffé, par lequel il répondis par un rire discret.
Quelques secondes plus tard, nous étions en plein fou rire dans la classe, impossible pour nous d'arrêter de rire. Si bien que le prof, à bout nerfs , fut contraint de nous mettre dehors.
Quelques minutes après être sorti, nous nous étions calmés et attendions patiemment la fin de l'heure tout en nous baladant dans les couloirs de l'établissement.
Il m'expliquais qu'à la maison c'était pas toujours facile pour lui et sa sœur. Il me fis part de la complicité entre eux depuis l'enfance et qu'ils ont réussi à garder intacte malgré le fait que ses parents l'adorait et le gâtais tandis qu'il détestait Miu.
Elle avait du s'élever seule, son grand frère comme seul repère familial. C'est lui qui lui avait tout appris malgré la colère de leurs parents qui voulais juste la mettre dehors.
Je l'écoutais silencieusement, admirant le courage de ces deux enfants qui ont été forcés à grandir trop vite.
Koko: je sais même pas pourquoi je te raconte tout ça, c'est trop badant comme histoire ahah!
La sonnerie retentit et pendant que je l'écoutais parler de tout ce qui pouvais lui passer par la tête, je vis à travers la grande fenêtre du 1 étages, une jolie fille en uniforme se tenant droite face à deux frère, leur souriant. En le faisant signe de la main, elle se retourna sans leur adresser un dernier regard et se dirigea vers le bâtiment principal.
"Seishu, tu viens?"
Me lança koko quelques mètres devant moi. Je lui accordai un signe de tête comme simple réponse, m'empressant de le rattraper.
Une fois descendu au rez-de-chaussée, nous nous séparâmes pour aller à notre casier, situé dans deux couloirs diffèrent.
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Je marchais marchais rapidement dans les couloirs, profitant du fait qu'il soit encore assez tôt pour que le sol carrelé ne sois pas bombé de monde.
Encore fatigué des événements de la veille, je ne faisais pas attention d'où je mettais les pieds et ce qui devais arriver arriva.
Je me pris violemment le bord d'un casier mal fermé en plein dans ma blessure, ce qui l'a rouvris. Elle se mit aussitôt à saigner abondamment pendant que je pressais ma main sur mon œil gauche, déjà couverte du liquide poisseux, pour éviter une perte trop grande.
Je sentis tout à coup quelqu'un attraper ma main libre et me tirer vers lui. La personne me leva le visage du bout des doigts pour observer l'ampleur des dégâts causés par la fine plaque de métal.
Je tombai sur un seishu, visiblement mort d'inquiétude, qui, avant que je ne puisse dire ou faire quoi que se sois, commença à marcher vers l'infirmerie toujours en me tenant fermement la main, ne me laissant pas d'autres choix que de lui suivre.
—————————————————————————— Yooooooooo 😗✌️ Ouais je sais je vous ai vraiment laissez en plan mais je devais profiter de mes vacances enfaite 😡 Nan en vrai vous pouvez me pardonner j'ai grave fais un chapitre miam miam 😼 JUSTE ON EST D'ACCORD LES GENS QUI S'AMUSE A LAISSER LES PORTES DE CASIER OUVERT ILS DOIVENT ÊTRE ÉRADIQUÉS DE LA TERRE 😾 On c'est vraiment tous pris un rebord de casier. Si ça vous est pas encore arrivé pas d'inquiétude, le casier vous attend 😚💅
