Les Élus du destin (TERMINÉ 1er JET)

Chapitre 24 : Le vécu d'Athéna sur Terre

Le vécu d'Athéna sur Terre

J’étais toujours contre Michel en larmes, chaque fois qui me parlaient de ma fille me fessait repenser à celui que j’ai perdu peu après notre fille et venue au monde. Je relève ma tête et je regarde Michel toujours avec les larmes aux yeux puis d’une petite voix, je répondis :

— Je te remercie énormément d’être là à mes côtés, de me consoler et de m’avoir guéri de mes blessures. J’aimerais te raconter quelque chose qui ne me fait mal rien que d’y pensé… Mais après, j'aimerais que tu me promettes de ne jamais en parler à Oréa si… si un jour, tu la revois... Non, c’est à moi de le faire… De lui dire la vérité…  

— Je te le promets ma douce et oui, je te comprends, il vaut mieux qu’elle le prenne par toi que par moi ou bien quelqu’un d’autre.  Mais, vas-y je t’écoute et prends tout ton temps, de toute façon, nous sommes en sécurité ici, répondit-il en me souriant. 

Je prends une grande inspiration, puis-je commence à lui raconte mon vécu sûr Terre dans les moindres détails :

C’était il y a trente longues années avant l’arrivée de Oréa…

Je traverse le ciel en même temps que la pluie, je m'écrase lourdement au sol en effectuant plusieurs tonneaux sûr moi-même. Je sentis les gouttes d'eau tomber sur mon corps, j'eus un léger frisson me parcourir le long de ma colonne vertébrale. Quelques minutes après, je me relève tout en séchant mes larmes. Je me regarde de bas en haut et cela pendant plusieurs minutes, d'un claquement de doigt, je remets mes habits en parfait état. Je commence à marcher sans même savoir où ce chemin goudronné me conduirait. Ce brouillard épais qui est censé me troubler la vue, hors moi, je voyais parfaitement clair. Il faisait nuit en compagnie de son vent glaciale, mais il s'était arrêté de pleuvoir. Soudain, une lumière blanche m'éblouit tout en faisant un gros bruit de tonnerre assourdissant. À l'arrière de ce char, il y avait de la fumer noir avec une petite touche de gris qui sortait de deux trous. Un homme me regarde tout en arrêtant son char. Je le regarde à mon tour en faisant le tour de son char qui entourer l'homme. Je m'arrête vers la gauche et je retire le bout métallique qui nous sépare lui et moi. Je jette le débris de métal au sol puis-je sors l'étrange homme qui celui-ci me regarder d'un air terrifier. Quant à moi, je lui souris très légèrement pour essayer de détendre un peu l'atmosphère. Je le regarde ensuite d'un air doux, puis-je prend la parole d'une voix douce :

— Bonsoir… Je suis désolé si je vous aie tant effrayé… Comprenez-moi que tout ceci n’était pas mon but. J’aimerais juste savoir où suis-je en réalité ? 

L’homme était légèrement tremblant, mais celui-ci répondit sans même me regarder :

— Heu… Bonsoir et vous êtes à New York, je… Désolé d’être si nerveux, mais je… heu enchanté, moi, c'est John Trentt et vous ? 

Je le lâche d’une extrême douceur et je lui caresse la joue au passage juste avant de m’écarter de lui et de lui répondre toujours en gardant le même ton : 

— Oh… Oui pardon, veuillez m’excuser pour mon impolitesse… Enchanté, je me nomme Athéna - Ergane, alors comme ça habitat se nomme New York ? Pouvez-vous m’indiquez où pourrais-je passer mes nuits s’il vous plaît ? 

John acquît d’un mouvement de tête puis il remonte dans sa voiture tout en me faisant signe de monter également. Je refais le tour de son char puis j’essaye d’ouvrir ce bout de métal sans pour autant l’arraché comme la première. Je finis par l’ouvrir et je prends place dans le siège passager tout en claquant la portière du char pour la refermer. Celle-ci me donne beaucoup de mal à respirer à un point que je commence a suffoqué. J’avais vraiment du mal à comprendre ce qui m’arrivaient. Je ne pouvais pas rester une minute de plus à continuer de suffoquer dans ce char. Je défonce mon côté droit, puis-je sort en vitesse tout en ayant une respiration rapide. L’homme sort de la voiture à son tour, il me rejoint, mais tout en gardant une petite distance et en levant ses mains, il me dit :