Jour 3:
Cela fait 3 jours que je suis enfermée ici simplement à cause d'un lien...
Seule dans le noir, sans eau ni de quoi me nourrir , n'ayant aucune nouvelles de mes proches. Ce calvaire remonte d'il y a trois jours
Pdv mayline, il y a trois jours...
J'étais tranquillement assise devant mon écran télévisée, lorsque une notification apparue sur mon téléphone. Intriguée, je me demande qui ça peut être, mais je lache vite l'affaire, mon cercle d'ami était tellement restreint que j'étais persuadée que c'était bien ma soeur ou ma mère .
Étonnamment, c'était un numéro à 4 chiffres le 7900. Surprise j'hésite à y accéder mais par intrigue j'appuyais. LE CHOC!
Je me voyais, avec une vue d'un coin de mon salon, je me voyais sur mon téléphone sur mon canapé la télé allumée. J'effectuais des gestes pour voir si c'était vraiment moi en direct. Mais oui c'était bien moi, on m'espionnait! J'étais terrifiée, tous mes membres tremblaient je ne pouvais plus bouger, comme si j'étais paralysée. Le premier réflexe que j'eus était de me précipiter vers mon répertoire pour prévenir les autorités, mais quelque chose d'inattendu arriva:
Comme si ce calvaire n'était déjà pas assez pour moi !
Une voix surgit de je ne sais où ! Elle résonnait dans toutes les pièces.
c'était une voix grave, masqué il semblait que ce soit un homme, il cita:
-"Votre soeur est sous notre otage, osez appeler quiconque et je lui trancherais la gorge sur le coup, alors suivez nous et tout se passera bien...surtout gardez le silence. ricana-t-il
-"PRENEZ MOI, PRENEZ MOI criais je sans cesse PRENEZ MOI ET LÂCHEZ LA"
-"Très bien, c'est parfait. "dit il d'une voix satisfaite
Toutes les lumières s'éteignît tout à coup. Alors je ne voyais plus rien. je n'avais aucune idée de ce qui se passait, des mains glacés se déposait sur mes lèvres, Je poussa un cri de surprise interrompu par:
-"Garde votre calme et suivez moi" à ma surprise la personne ne portait pas de gants, j'essayais quand même de me débattre mais sans résultat, j'étais trop faible contre lui. Il m'emmenait vers un van il faisait noir dehors il était tard, je ne pouvais distinguer les éléments numériques sur la plaquette.
Quelques minutes plus tard je me retrouva accroupie les yeux bandés dans le coffre. J'avais du mal à respirer, j'étais contrôlée, la seule chose que j'entendais étaient sûrement les turbulences sur la route, je n'avais pas la notion du temps mais je parierais que cela faisaitquelques heures que nous roulions, Je n'osais pas parler je me sentais oppressée.
Où pouvait-on bien m'emmener ? Des millards de questions traversaient mon esprit.
Soudainement une lueur de chaleur apparue. Allait on me délivrer ? Suite à ça j'entendais vaguement le bruit du coffre s'ouvrir.
On m'attrapa violemment par mes poignets menottés pour continuer une longue marche...
