Quelques semaines après
Moi : Pourquoi tu fais une tête pareille, on vient de conclure le marché, ton projet va bientôt se réaliser.
Essan : Je croyais que c'était le nôtre.
Moi : Peu importe, alors pourquoi tu as le regard d'un chien battu.
Essan : Pour rien, ne fait pas attention.
Moi : Tu vas cracher le morceau oui, depuis plusieurs semaines tu as ce regard, est-ce à cause de ton frère ?
Essan : Comment il va ?
Moi : Après un mois, tu te décides à demander après lui, mais pourquoi je sens qu'il n'est pas pour Daghan.
Essan : Je dois y aller, j'ai des choses à faire.
Moi : Nheav a un match demain, tu as intérêt à te pointer, et si jamais tu viens en retard, je vais te niquer.
Essan : Ne t'en fait pas je serai là.
Moi : C'est ce que j'ai dit, tu y as intérêt.
Essan : Je dois y aller
Moi : Ok, mais dit moi où est passée ta pétasse de mère, ça fait longtemps que je ne l'ai vue, ne me dit pas qu'elle est allée faire la pute.
Essan : Arrête
Moi : Ok, mais où est-elle ?
Essan : Chez ma grand-mère au Maroc.
Moi : J'imagine qu'elle prépare un autre coup contre moi.
Essan : Je ne la laisserai pas faire.
Moi : Depuis quand le fils à maman est devant ennemi à maman.
Essan : Je ne suis pas son ennemi, mais je ne laisserai personne te faire encore du mal.
Moi : Ouhla tout doux mon minou, je ne suis pas une chose fragile et je n'ai nullement besoin de ta protection.
Essan : Pourquoi il faut à chaque fois que tu joues à dure, tu sais à ce moi tu n'as pas besoin de faire semblant je vois tout.
Moi : Je peux savoir ce que tu vois ?
Il m'a regardé de haut en bas, avant de s'approcher de moi et de me touchée, je croyais qu'il me caressait, jusqu'à ce que je remarque qu'il touchait exactement mes parties cicatriser, je l'ai brusquement poussé.
Moi : C... Comment est possible, t... tu peux les voir.
Essan : Oui
Moi : Depuis quand ?
Essan : Ce fait un bon moment.
Moi : Pourquoi tu ne m'as rien dit, tu m'as laissé me promener quasi nue, alors que tu voyais ces cicatrices sur mon corps, je comprends tout à présent, ce regard de chien battu c'était pour moi, car tu as pitié de moi.
Essan : Quoi bien sûr que non, je ne pourrais jamais avoir pitié de toi, au contraire je t'admir, toutes ces marques t'ont été infligées parce que tu protégeais notre enfant, donc tu as préféré encaisser que te riposter. Et même si je t'en ai avait parler est-ce que cela aurait changé quelque à ta façon de t'habiller ?
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Une Capo De Gang Et Un Capo De Police Tome III
FantasyDans cette partie de l'histoire seul l'espoir peut sauver l'humanité, car la balance a perdu son équilibre quand l'ange a sombré dans les ténèbres. Suivez l'ultime Tome d'Une Capo De Gang Et d'Un Capo De Police.