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Kiyo, 04h06,

J'ouvris doucement les yeux et serra doucement la main de mon aînée en sentant une infirmière me piquer.

"Pouvez-vous parler ? Questionna la jeune femme.

-... Ha-...

-Il est parti depuis deux mois tu le sais bien, dit-il.

-Deux... mois ?

-Tu a fait un comas de deux mois. Dit l'infirmière.

-On va te laisser te reposer petit frère, surtout ne te lève pas de ton lit."

J'étais vivant, belle et bien vivant... j'eu plusieurs visites les heures suivantes par ma famille mais un manquait à l'appelle, l'homme que j'aime. j'étais dans l'infirmerie du palais un des soldats quelques lit plus loin.

Les raisons de ma tentative résonnait en moi, il n'était plus là et il ne le saura plus jamais... les sanglots ont raisonné dans la pièce, ce qui réveilla mon voisin.

"Tu a tout a tes pieds gamin, pourquoi tu fais chier le monde a vouloir te tuer et pleurer alors qu'on peut mourire n'importe quand ?

-Je n'ai pas tout, je ne choisis pas qui aimer, je dois être parfait et ne pas vivre et si je me liais d'amitié avec des humains je les perds tous a petit feu.

-Alors profite de ce que tu as, tu ne vis pas dans la pauvreté toi, tu peux abandonner ton poste de Roi à n'importe quel moment et ne sera jamais obligé à travailler.

-Ques-qui vous empêche de quitter votre boulot?

-L'argent, risquer sa vie est le seul moyens d'avoir un assez bon salaire pour quatre bouche a nourire sans compter ma femme et moi.

-Vous avez des enfants sergent Sato ?

-Oui quatre, deux aînées et deux jumeaux comme vous. J'ignore pour quelle raison tu as voulu te buter mais profite de ce que tu as vraiment."

Je reste alors allongé sur mon lit pendant plusieurs heures avant que quelqu'un ne vienne toquer à la porte, il s'agissait irréfutablement de mon père. Géniale la dernière personne que je voulais voire après cet incident.

"Alors comme ca tu es enfin réveillé. Dit Il.

-Je ne connais pas ton avis ? Le garde esquissa un sourire.

-Me dit pas que tu me fais encore la gueule pour ce garçon, cela fait deux mois maintenant.

-Pour moi c'était il y a seulement quelques heures, et évidemment que je t'en veux je suis amoureux de lui.

-J'ignore ce qu'il t'a fait pour que tu agisse comme cela mais lorsque tu seras sur pied je m'active à te trouver une épouse, dit-il d'un temps glacial.

-Je t'en supplie non...

-C'était le deal chéri, dit-il calmement.

-Non j'ai quelqu'un c'est toi qui a tout gâcher.

-Ca suffit ! Tu ne sais pas ce que tu dis, repose toi et dans deux semaines je lancerais les recherches. Dit-il en quittant la pièce.

-Connard.

-Ça va ? Demanda le gardes.

-Non du tout non.

-J'ai pas vraiment compris le problème, pourrais tu...?

-Il m'a laissé une semaines pour décider d'épouser la personne pour laquelle j'avais des sentiments avant qu'il ne commence les recherches pour un mariage arrangé, cependant il était humain et ce connard m'a interdit de le voir c'est pour cela que je suis ici.

Your vampire, my servant. (en edition)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant