Nuit Blanche (Terminé)

Fièvre intense

J'entends la porte d'entrée s'ouvrir et des pas résonner dans l'appart je suppose qu'il est rentré faut vite que je me dépêche de sortir d'ici sinon... Trop tard il est déjà là devant moi. Il me regarde dans les yeux puis mes vêtements j'ai porté une culotte et un haut tout ce qu'il y a de plus banale. Il a l'air plus calme que tout à l'heure.

Moi:euh désolée j'ai fais un peu de ménage et quand je suis passée devant ta chambre et j'ai remarqué que...
Stephen:Quand j'ai vu que le salon était impeccable j'ai compris que tu avais recommencé. Pourquoi t'es habillée de cette façon ? Où est Perla ?
Moi:je fais du ménage donc j'ai voulu me mettre à l'aise et Perla est sortie elle ne rentrera pas avant longtemps.
Stephen:pourquoi tu t'es pas mis à poil pour faire le ménage,tu aurais pu être très à l'aise tu crois pas ?
Moi:très drôle tu pourrais te pousser j'aimerai passer.

Il rentre dans la chambre et au moment où je m'y attend le moins il me plaque dos au mur j'ai à peine le temps de réagir qu'il a posé ses lèvres contre les miennes. Son corps était collé au mien ses mains glissaient sur mon corps allant des mes épaules à mes cuisses j'en ai des frissons, je sens une boule se nouer dans le bas de mon ventre. Mes mains se pressaient contre son torse pour le repousser tout doucement c'est vrai que j'en ai envie mais c'est pas parce que j'en ai envie que c'est forcément bien.

Moi contre sa bouche: Stephen arrête s'il te plaît.
Stephen: pourquoi ? Je sais que t'en a envie tout comme moi alors où es le mal ?
Putain il me tente et je sens que s'il continue je vais craquer.
Il part vers la porte qu'il ferme tandis que je me sens comme une enfant devant un supermarché de confiseries alors qu'il a une carie.

Il revient vers moi le sourire aux lèvres et là j'ai compris que c'était ma perte. J'ai tout de suite sur que je ne pouvais pas lui résister comme une imbécile je suis sur le charme. De toute façon où est le mal, si je veux coucher avec lui qu'est ce qui m'en empêche. Il me regarde dans les yeux,je me perd dans son regard et au plus profond de moi je n'ai plus aucun doute j'ai envie de lui et peu importe les conséquences.  Oh la la la la je suis malade alors là très malade.

Il a noué ses bras autour de ma taille je glisse ma main dans ses cheveux noirs ébène l'autre se pose sur sa joue, je scelle mes lèvres au sienne dans un baiser intense  et parfait juste parfait. La douceur de ses lèvres sur les miennes m'avait manqué tout comme la chaleur de son corps et son odeur tellement délicieuse et envoûtante. Je sens monter la température de nos corps j'en ai presque les mains brûlées.

Mes mains ne tenaient plus en place elles se sont plaquées d'elles même sous son t-shirt jusqu'à l'ôter. Il fait glisser mon haut jusqu'à l'ôter complètement et je le balance à l'autre bout de la pièce. Il me soulève tandis que je noue mes jambes autour de sa taille.

Nos corps étaient dévorés par le désir qui nous consommaient. Lorsque mon corps entra en contact avec les draps j'ai voulu plus,beaucoup plus. Il a déboutonné ma culotte et me l'a enlevé,j'ai déboutonné le sien et je l'ai fais rejoindre les autres sur le sol. J'étais en sous vêtements et lui en boxer,il a dégrafé mon soutma petite culotte et soie puis retirer son boxer.
Ses mains laissaient sur ma peau une emprunte j'étais comme brûlé à chaque fois que sa main passait sur une partie de mon corps.

Il avait une telle emprise sur moi et sur mon corps, sur mon coeur et sur mon âme que j'en étais étourdie. Sa langue titilait un de mes tétons qu'il agaçait, ses mains se baladaient sur mon corps en toute liberté. Mes mains passaient de ses cheveux à son dos que je caressais.

Quand il eu finis sa douce torture il m'embrasse et descendit sa main plus bas, encore plus bas dans mon jardin secret où il effectuait des mouvements circulaires sur mon bouton d'amour laissant échapper mes gémissements. Plus je gémissais plus il accélérait la cadence, le plaisir grognait en moi tel un orage. Il introduit un doigt en moi puis deux faisant des aller et retour, d'abord en douceur puis de plus en plus vite tandis qu'il me mordillait presque les seins.

Moi:laisse moi aussi te faire du bien à mon tour.
Stephen: je suis à toi bébé, fais moi tout ce que tu veux. Il m'embrasse tellement longuement que j'en ai mal au lèvre. Ma main passa sur son sexe que je caresse puis  je commence une série de va et vient ses gémissements me chatouille les oreilles.

Ma langue passa sur son gland que je lécha avec gourmandise ; son sexe était tendu comme un arc je le voulais en moi, je voulais qu'il me remplisse entièrement qu'il me fasse sienne encore une fois. J'avais son goût dans ma bouche lorsqu'il m'embrassait, lorsqu'il me pénétra la température de la pièce grimpa d'un coup. La sensation de brûlure qui me consumait devient de plus en plus intense.

Chaque coups de rein qu'il donnait nous plongeait dans un autre monde,chaque caresse qu'on se donnait, chaque baiser qu'on échangeait ne faisait qu'accentuer notre désir commun nous propulsant au septième ciel un peu plus. Seuls les bruits de ses coups de rein en moi résonnait dans la pièce. Nous nous séparons à bout de souffle le corps ruisselant de sueur et secouer de spasmes le sourire jusqu'aux oreilles au mon Dieu c'était carrément dingue.

Aucuns mecs n'avaient réussi à me mettre aussi bien.
Stephen: tu vas bien ?
Moi:oui sava bien et toi ?
Stephen:sava juste que j'ai sommeil. Tu vois qu'il ne s'est rien passé après ce qu'on a fait hum ?
Moi: je crois que je vais y aller.
Stephen:tu m'fais un petit bisou avant ?
Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un baiser qui me donne des frissons. L'une de ses mains sont dans ma chevelure et l'autre me caresse le bas du dos.

Et merde je me suis laissée emporter. Tout s'est passé rapidement tellement rapidement. Il serra mon cou pendant qu'il me penetrait à nouveau en me regardant. Ses coups de reins etaient violents je perdais un peu plus la tête. Je tremblais incapable de reprendre le contrôle. Il me baisait et j'adorais sa. Il allait et revenait en moi me prenant comme jamais personne ne m'avait prit avant. Mes griffes martelaient son dos, mon corps suivait le rythme qu'il m'imposait:c'est bon,trop bon.

Sa langue caressait la mienne étouffant mes gémissements qui se transformait en cri.L'orgasme menaçait de secoué mon corps comme un ouragan, mon corps était endolori, j'étais incapable de reprendre mes esprits. Ses coups de hanches devint de plus en plus violent,il ne me lâchait pas, son doigt actionnait mon clitoris. Ce fut ma perte l'orgasme vint encore plus époustouflant que le premier faisant éclater plusieurs feu d'artifice devant mes paupières. Il continait de malmener mon corps, mordillant la lobe de mon oreille,mes seins.

Mes gémissements se transformaient en cris, mon bas ventre etait en feu, j'en pouvais plus. Je le suppliais d'en finir c'était trop pour moi j'arrivais plus à suivre. Il me retourna et s'enfonca encore en moi, continuant à aller et venir, à venir et à aller. Son sexe me fouillait,allait et revenait en moi à une allure folle; j'ondulais mes hanches autour de son membre dur qui avait doublé de volume...comment cela pouvait etre possible ?  Il ressortit et s'enfonca d'un coup sec en moi, ce fut le coup de grâce,le coup de la délivrance. Nous jouissons à l'unisson et finissons par nous effondré sur le lit complètement exténué....

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Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous comprendrez.