6- Coeur ouvert

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Muse

Le soleil venait de tapé son nez. Mes rideaux n'avaient pas étaient tirés de la veille. Malheureusement c'est donc à six heures que je me leva. Je rêverais d'une sieste mais ça devra attendre. Quelques heures.

Je sorti de mon lit encore chaud, j'enfila mon pull traînent sur le bout de mon lit avant de le mettre et sortir de ma chambre.

En ouvrant la porte, je vis que celle de Fitz était fermé, il devait peut-être encore dormir. Il était monté tard.

Je descendis les marches dans le plus grand spins possible.

Je suis peut-être une garce mais j'aimerais pas être réveillé par quelqu'un a six heures du matin. Je serais de mauvaise humeur toute la journée.

De toute façons avec lui on ne sais jamais il ne laisse rien paraître. Mais absolument rien. Comme si il n'avait pas d'émotions.

Après tout il en a peut-être pas.

En entrant dans la cuisine, une bouteille avait était posé. Le bouchon à côté. Je vida la bouteille et la mis à la poubelle.

Je mis la cafetière en route et fis mon café.

Je me mis devant la télé de façons à regarder ce qu'il y avait de bon matin.

Il n'y avait rien d'autre que les totally spies. In dessins animés que je regardais étant plus jeune. Ce qui m'empêche en aucun cas de le regarder encore à l'heure d'aujourd'hui.

Quelques épisodes plus tard, Fitz fit son irruption dans les escaliers. Il était habillé seulement d'un short. Il était torse nu. Il ne pouvais pas me voit. J'en profite donc pour le détailler. Il a des tatouages sur son torses, sur ses bras. Il a quelques abdos, il n'est pas trop musclé. Il a des muscles mais pas trop. Il a se sont il a besoin.

Il alla dans la cuisine et revenu dix minutes plus tard avec une tasse dans les mains, il vena se pose a quelques centimètre de moi.

-Tu es réveille depuis longtemps ? Me demanda t-il.

-Oui. Depuis six heures. Lui répondis-je.

Il me regarda et hocha la tête avant de prononcé,

-On part dans une heure et demi.

-Je serais prête.

-Évidemment. Tu fera bonne impression devant les gens, j'ai pas envie de me taper la honte.

-Je me tiens toujours bien et puis tu sais y'a vie n'est pas vraiment la tienne si tu penses à ce que les autres pensent.

-Si tu le dis.

Une heure plus tard, étant passé par une seconde prise de tête avec Fitz, je suis allé me préparer et nous voilà maintenant dans la voiture depuis cinq minutes sans qu'il n'est encore démarrer.

Je la sens bien cette journée !

-Tu fais quoi enfaite ? On doit pas y aller je veux pas rentrer trop tard.

-Tu n'es pas patiente ?

-Non maintenant tu démarre qu'on se casse et aille voire ton père !

ADDICTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant