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Comment expliqué à la police que le cadavre sous vos pieds vient de mourir et qu'il est vieux de plusieur siècle. Bien évidement cela ne passe pas. On vous prend pour une sacrée cinglé.

Ysaline et Diégo était assit sur le canapé. Il n'était pas loins de quatre heures du matin et on les obligeait à répété la même histoire en boucle. Pour Diégo s'était relativement simple. A chaque question, il se contentait de répondre : « je dormais » . Ça ne fait pas avancé le shmilblique, mais ça à l'avantage qu'on lui fichait rapidment la paix. Ce n'était pas la même rengaine pour Ysaline. Elle avait du expliqué les concepte de lyche à des flics ignorant et la présence d'un cerbère dans cette partie du monde. Il ne comprennait rien. De frustration, Ysaline se leva du canapé.

— Vous allez où ! hurla le flic en uniforme.

Ysaline ne daigna répondre qu'en entrant dans la cuisine.

— Faire du café ! Vous en voulez !

L'agent s'excusa et demanda poliment. Il n'y avait que ça pour apaisé les force de l'ordre. Ysaline remplie la cafetière à rabbord. Elle n'arrivait pas à croire ce qu'elle venait de voir. Elle avait vue Damien. Elle ne pouvait en douté. La situation dont elle l'avait plongé était pire que ce qu'elle n'avait jamais imaginé. Un garm, il était devenue un chien des enfers et il avait pris l'âme de madame Ardakamie. Il l'avait tué. Ysaline ne pouvait en vouloir qu'à elle même. Elle était responsable de tout. Si elle n'avait pas récusité Damien. Si elle l'avait laissé mort, elle n'aurait pas celle de sa mentore sur le dos, ni la malédiction de Damien. Elle était la seule responsable, la seul fautive. Elle ravala les larme qui lui montait au yeux. Elle devait tenir. Elle devait protéger Damien. Elle ne pouvait pas prendre le risque que les flic face le lien et qu'il le retrouve. Déjà car on avait jamais vue cela à Mirabilis. Un chien infernal, capable de se transformé qu'en bon lui chante, plus puissant que tout les garou n'ayant jamais foullé se monde. Mais surtout, il ne mettrait pas longtemps à faire le lien avec elle. Elle n'était plus humaine, elle n'était peut-être même pas une fée, après tout elle pouvait bien être une liche. Une nécromancienne sans âne n'était-elle pas une liche. En attendant, elle avait toujours ses dons de Banshee, donc les pouvoir d'une fée de la mort. Elle ne voulait même pas imaginé ce qui pourrait bien lui arrivé si jamais, on découvait ce qu'elle pouvait être. Madame Ardakamie n'avait pas pour rien caché sa situation. Les éternels ne font pas long feu en terre mortel. Les humain n'aime pas vraiment les affranchit de la mort. Ysaline ne voulait pas se retrouvé de l'autre coté, franchir la frontière. Elle était chez elle à Mirabilis. Peut-être quand son intégrité physique sera mise en danger, ce choix ne lui semblera pas si absurde. Pour l'instant la question ne se posait pas.

La cafetière poussa un bip stridant quand elle fut pleine. La banshee sursauta de surprise. Elle en avait presque oublié le café. Elle servit de mug fument et en approta un à DIego qui domait en chien de fusil sur le canapé. Malgrès la cacophonie ambiante et la mort d'Adélaïd le démoniste arrivait à dormir. Ysaline vit le regard désieur de l'agent face à la tace fumante. Il devait débuté. Ses trains avait quelque chose d'enfentin et son uniforme semblait bien trop grand pour lui. Ysaline lui fit un mouvement de tête pour l'emcouranger à aller se cherché un truc à boire. Elle jeta un regard distrait à l'équipe scentifique qui était venue cherché le corps momifié d'Adélaïd. Elle n'avait pas vue Ronnan Ancelot. Mais femme d'une qurantaine d'année, assez grande pour être une championne de basquette, hurlait sur tour les flic passant dans son champs de vision, les acusants de bousiller ses preuves, la relève était bien assurée.

Ysaline se laissa engloutir par le canapée. Elle était épuiser. Elle voulait hurler à tout les grader présent dans la pièce de se tiré avant qu'elle ne les vire d'un coup de pied dans le cul. Mais elle devait resté calme et silencieuse. Elle savait que la police l'avait dans le colis mateur. Il attandait une erreur de sa part pour tout lui mettre sur le dos. Il y avait de quoi. Entre les soucis qu'avait posé Damien ses dernier temps et les meutre de vampire, Mirabilis avait bien besoin de soufflé. La plèbe grognante se satisfera très bien d'une nécromancienne, surtout si cette dernière est plus fée qu'humaine. Ysaline avala une gorger brulante de son café. Elle ne sentit même pas la douleur sur sa langue. Mais elle avait bien l'amertume dans la bouche. Elle remarqua que la chaleur du mug diminua a vue d'oeil. Le contacte de ses main contre la faillance le refroidit. Elle manqua dans laché la tace. Les vampire était froid car leur corps ne produisait plus de chaleur. IL était en régénare à température ambiante. Ysaline ne s'était pas demandé qu'elle pouvait être sa température actuelle. Une terreur sourde lui enserra le coeur. Elle voulut se lever et aller sen fermé dans la salle de bain avec un termometre et en avoir le coeur net. Mais elle ne devait pas attiré l'attention et s'assuré de ne pas être toucher. Elle avala une gorger de son café froid.

BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant