Chapitre 26

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hello everybody ! j'espère que vous allez bien et que vous avez pas trop froid ! moi perso je suis enfoui sous mon plaid et ma couette ( après j'ai les cheveux mouillés ça aide pas ) et mes mains sont congelés mdr.
bref à dans deux semaines ! et d'ici là j'espère j'aurai réussi à écrire un peu.

Chapitre 26:

Emilie venait de fondre en larmes dans la cuisine. Apprendre que Ashley était en vie et en sécurité au QG avait fait exploser la bulle d'anxiété qu'elle c'était bâti ces derniers mois et le soulagement si soudain l'avait ébranlé. Mais elle n'était pas dupes. Derrières mes mots annonçant sa libération, des cadavres se caché, des morts évitable et de la violence durant la captivité. Et le climat anxiogène et le deuil reconstruirait très bientôt sa bulle oppressante qui lui coupait l'appétit et la rendait inattentive autant en cours que au travail. Mais pour le moment je voulais profiter du sourire qui irradiait son visage, quelques minutes, voir dures, d'oubli, d'innocence, de joie et de réconfort.

Parce que notre Emilie avait le droit à du réconfort. Elle qui c'était montré si stoïque, qui avait tenté de faire face, qui avait parfois occulté ses sentiments au points de paraître trop naïve ou ne donnant aucune importance aux graves événements, elle avait le droit d'être heureuse d'enfin retrouvé son amie après tout ce qui c'était passé sans pour autant être obnubilé par le climat extérieur et les décès qu'avait causé cette libération.

Elle finis par enfilais ses chaussures et son manteau puis attrapa son double des clé de l'appartement. Je la suivis et renoua mon écharpe en descendant les escaliers à grande vitesse.

Nous étions assise dans le bus, en silence. Alors que d'habitude il était gratifiant en sa compagnie, aujourd'hui il était inquiétant. La neutralité peinte sur son visage ne me rassurait pas mais je ne dis rien et finis par perdre mon regard dans le paysage. Il y avait quelque chose d'étrange dans se fourré.

- Em, il y a quelqu'un dans le fourré, il m'a l'air évanoui. Il faut qu'on y aille. Elle ne répondit pas mais entreprit de se lever pour attendre que le bus s'arrête au prochain arrêt et me laisser passer.

Nous étions descendus et courrions désormais sur le bord de la route. Enfin je retrouva le fameux fourré et le pied dépassant. Écartant les feuilles en me griffant les mains je pu enfin l'identifier, Julien Peeters, membre de La Résistance, lui aussi porter disparu.

- C'est Peeters, souffla Emilie au dessus de mon épaule.
- Ouais. Il faut que tu m'aides à le sortir de là, j'arrive pas à atteindre un endroit où son pouls et mesurable.
- Ok, peut-être j'appelle Nimo aussi ?
- Oui, mais d'abord on le sort de là.

Nous entreprîmes donc de le sortir de son buisson en limitant les griffures et égratignures. Nous devions avoir l'air fines, entrain de téléphoner et d'ausculter un jeune homme inconscient au bord de la route.

- ils arrivent. Avec le 4x4.
- D'accord merci, il m'as pas l'air trop amoché mais vachement déshydratée. J'espère que Mme Schmidt à de quoi perfusé parce que je pense que ça fait un certain temps qu'il est là et qu'il se réveillera pas t'oit de suite.
- Justine, regarde.
- Quoi ? Je suivis du regard la direction indiqué par sa main et les vis, je ne les avait pas aperçu de suite en relevant sa manche, trop obnubilé par la nécessité de savoir si il était vivant, mais maintenant elles étaient criantes, les écailles. Merde. Merde, merde. Jurai je.
- Je crois qu'ils ont trouver un moyen de calmer les effets et que c'est pour ça que Mme Lynd a pu rentre chez elle malgré son stade très avancé et sa perte de la vue. Ça va allez ju.
- J'espère.

Enfin un 4x4 noir fit son apparition et se gara à coté de nous sur le bas côté. Tania en descendit accompagné de monsieur Ronsard. Emilie et moi poussâmes un soupir de soulagement puis montâmes Julien dans le véhicule.

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