07 - Millenium

3.5K 93 192
                                        

PERLE

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

PERLE

J'étais en train de lire un livre avec de la musique dans mes écouteurs quand l'autre connard rentra comme un fou dans ma chambre et que je fus obligé de couper ma musique pour écouter ce qu'il avait a me dire.

On ne t'a pas appris à toquer ?

Non, on ne m'a pas appris à toquer quand il y a ton putain de père qui a envoyé des Hommes devant chez moi, sérieux tu n'as pas entendu tout le boucan ?

Oups... J'ai pensé trop fort.

Non, j'avais mes écouteurs, et même si j'avais entendu je n'aurais rien fais, si tu peux mourir ça m'arrange comme ça, je retrouve enfin ma liberté et adieu le bipolaire qui me sert de kidnappeur. Rétorquais-je en affichant un faux sourire

Il me regarda faussement ahurit et apporta sa main sur son tee-shirt au niveau de son cœur avant de prononcer :

Je suis vexée et tellement blesser... Tu me laisserais mourir juste pour ta liberté.

Je levais les yeux et essayais de remettre mes écouteurs, mais la voix de Vito reprit.

Ce soir on va au Millenium, alors je te conseille de ne pas mettre une robe comme la dernière fois, car ce serait dommage de faire exploser la boîte de nuit n'est-ce pas ?

Je me mordais l'intérieur des joues, essayant de ne pas afficher de sourire. J'évitais son regard pour ne pas qu'il essaye de lire en moi comme dans un livre ouvert, à chaque fois qu'il me posait les yeux sur moi, son regard me détailler comme pour essayer de lire dans mes pensées.

Ça se trouve il lit vraiment dans les pensées.

Quelques minutes s'écoulèrent, mais il n'avait pas bougé.

Je décidais enfin de le regarder et il se tenais devant la porte, sur son téléphone, comme si de rien était.

Tu attends quoi ? Finissais-je par demander

Il détourna son regard du cellulaire et le posa sur moi.

Que tu te changes ? Dit-il sur le même ton que moi

Je ne vais pas me changer devant toi, sort s'il te plaît que je puisse m'habiller parce que sinon je ne viens pas et tu iras tout seul.

—Coincé. Rétorqua-t-il

À peine ses mots furent franchis de ses lèvres que je me levais d'un bond et le giflai. Sa tête se tourna sur le côté à cause de la force que j'avais mis, et le bruit de ma main contre sa joue résonna.

Deary Soul Où les histoires vivent. Découvrez maintenant