Nous deux à jamais...

Chapitre 26

Ellipse de quatre jours

Aujourd'hui, je dois malheureusement reprendre l'avion pour rentrer à Lyon. Je vous avoue que mon envie de partir avoisine les zéro pourcent, je me sens tellement bien à Munich, et puis je n'ai pas envie de quitter Ben. Même si ça ne fait pas longtemps que l'on est ensemble, je ne me vois pas vivre sans lui. Pourtant, je n'ai pas le choix. Je ne peux pas abandonner mon travaille maintenant. Et puis pour voir si notre couple va tenir un peu de distance ne nous fera pas de tords et si cela fonctionne toujours entre nous, on envisagera d'emménager ensemble mais pour l'instant rien n'est jouer, on prend notre temps.

Mon avions étant dans la soirée, je décide de passer la journée avec Ben, on a décidé de rester à la maison, et de se rendre chez ma cousine avant de partir à l'aéroport pour que je puisse leurs dires au revoir.

Ellipse de quelques heures

Nous sortons de chez ma cousine direction l'aéroport. Je n'ai vraiment pas envie d'y aller mais bon je n'ai pas le choix. Heureusement pour moi Benjamin m'accompagne jusqu' au bout et je peux donc profiter de lui encore un petit moment.

Nous arrivons très vite à l'aéroport, et les aux revoir avec Ben approche. Nous passons l'enregistrement des bagages, et je remarque qu'il me reste encore une heure avant d'embarquer. Nous nous posons sur les sièges devant la porte d'embarquement, et je dépose ma tête sur l'épaule de Ben, nos doigts sont entrelacer, mais personne ne parle. Je décide quand même de prendre la parole parce que je ne veux pas que l'on passe notre dernier moment ensemble sans se parler.

Louisa: Ben?

Ben: Oui?

Louisa: Je sais que tu ne veux pas que je parte et moi non plus je ne veux pas partir, mais je n'ai pas le choix. Comme je te l'ai dit j'ai des obligations à Lyon, et puis toi et moi ça ne fait pas si longtemps que ça que l'on sort en ensemble, pas que je ne crois pas en notre histoire, mais je trouve qu'il est encore trop tôt pour que l'on emménage ensemble. Tu comprends?

Ben: Oui et je suis d'accord avec toi.

Louisa: Ca me rassure alors, du coup je ne veux pas que l'on passe nos dernier instant réunis ici à Munich avant un certain temps sans se parler. D'accord?

Ben: Oui moi non plus je ne veux passer mes derniers instant tes côtés sans te parler, désoler

Louisa: Tu ne dois pas être désolé, c'est normal que tu sois triste, moi aussi je le suis.

Pour toute réponse, Benjamin tourne sa tête pour être face à moi et vient déposer ses lèvres sur les miennes dans un baiser à la fois tendre et passionné.

Nous passons le reste de notre temps nos têtes l'une contre l'autre et nos doigts toujours enlacée jusqu'à que l'on appelle les passagers du vol à destinations de Lyon à embarquer.

Louisa: Bon c'est l'heure, dis-je en me levant du siège sur lequel j'étais assise.

Ben: Malheureusement oui, dit-il en se levant lui aussi du siège sur lequel il était assis.

Louisa: Sache que tu vas énormément, énormément me manqué, et que j'attends déjà avec impatience nos retrouvailles

Ben: Toi aussi tu vas énormément me manqué, et ne t'en fait pas moi aussi j'attends avec impatience nos retrouvailles.

Nous nous embrassons une dernière fois avant que je ne doive monter dans l'avion. Je meurs d'envie de lui dire cette phrase qu'on ne dit pas à n'importe qui, et qu'on ne prononce que quand nous somme sur d'aimer la personne à qui n l'a dit mais je me dis qu'il peut être encore trop tôt, que ne nous sommes en couple depuis pas longtemps et qu'il ne faut pas précipitée les choses, même si je sus de mes sentiments envers lui, j'attendrais avant de lui prononcer ses trois mots. Je le regarde une dernière fois, avant de lui tourner le dos, et de montée dans l'avion.

Ellipse de quelques heures

Je venais tout juste de terminer de vider ma valise. J'étais rentré dans mon petit appartement quelques heures auparavant, et je peux vous dire qu'après avoir vécu quelques temps avec quelqu'un se retrouver seul dans son appartement, ça fait bizarre. Je décide de me poser sur mon canapé et d'appeler Benjamin, pour le prévenir que je suis bien rentré dans mon petit chez moi. Je sais qu'il n'a pas entrainement avant demain après-midi donc à priori il devrait me répondre

"Conversation téléphonique Face-time"

Louisa: Hey

Ben: Hey, ça va? Tu es bien rentrée?

Louisa: Oui super, je viens juste de terminer de vider ma valise, mais je t'avoue que ça fait bizarre de me retrouver seule et toi ça va toujours depuis que je suis partie?

Ben: Ah c'est super ça, bah écoute tu me manque beaucoup et je t'avoue que la maison fait vide sans toi.

Louisa: Je me doute, mais ne t'en fait pas on va vite se revoir, et puis maintenant j'ai de bonne raison de venir plus souvent sur Munich, tu ne trouves pas, lui dis-je avec un petit sourire en coins.

Ben: Ah oui et je me demande bien laquelle?

Louisa: Un magnifique talentueux et sexy joueurs de foot, je ne sais pas si tu connais, il s'appelle Benjamin Pavard, dis-je en éclatant de rire

Ben: Ce nom me dit vaguement quelques choses, dit-il avec un énorme sourire sur le visage. Sinon, me dit-il avec un sourire en coins, je ne savais que tu me trouvais sexy

Louisa: Humm ouais très sexy même, surtout quand tu sors de la douche avec juste une serviette autour de taille et tes cheveux mouillés.

Ben: Enfaite tu me matte à la sortie de la douche. Ah bah tant qu'on est dans les confessions, moi je peux te dire que tu es très sexy quand tu portes juste un de mes maillots de foot en guise de pyjamas. Je pourrais même dire incroyablement sexy et irrésistible.

Louisa: Eh bah monsieur Pavard, je ne savais que vous pensiez cela de moi, mais je suis heureuse de l'apprendre, mais cela veut dire que toi aussi tu me matte alors on va dire que sur ce point-là on est quitte dis-je en rigolant.

Ben: On va dire ça dit-il lui aussi en éclatant de rire.

Nous passons encore une bonne partie de la soirée au téléphone à discuter et rigoler, avant que je ne décide d'aller me coucher car demain étais la reprise du travail et même si je ne commençais ma journée qu'à onze heure, il fallait quand même que j'aille dormir car il était déjà minuit passer.

Louisa: Je vais te laisser et aller dormir car je commence à fatigué.

Ben: Ça marche, passe une bonne nuit et bon courage pour la reprise du boulot demain.

Louisa: Merci, bonne nuit à toi aussi et fait attention à toi à l'entrainement demain.

Ben; Ne t'en fait pas pour ça. Bonne nuit bisous

Louisa: Bisous.

Je raccrochais donc avec mon copain, pour ensuite aller me mettre en pyjamas et aller dormir. J'espérais qu'une seul chose c'est que j'allais passée une bonne nuit, sans dormir dans les bras de mon copain, chose qui s'annonçais compliquer.

Note d'auteur

Bonsoir, voici le 26e chapitre de "Nous deux à jamais,..." Désoler de ne pas avoir pu poster hier, mais j'ai eu une journée chargée. N'hésitez pas à me donner votre avis.

Camille