[🍥 Nda : Ceci est un one shot pour le concours de la @Commu-Naruto. C'est un SasuSaku qui introduit aussi quelque peu Shisui. Voili voilu, je vous laisse avec la suite !]
17 novembre 2016 audience de conciliation au tribunal de Paris
Le verdict était irrévocable et les mots comme une déchirure profonde de l'âme et du cœur, comme une plaie infecté qui ne peut plus cicatriser. Des paroles qui ce fracassé avec force contre le mur de la réalité.
— Vous n'êtes pas le père. Je suis désolé...me dit-l'avocate tout en baissant les yeux pour compatir avec moi.
Les mots résonnent dans ma tête comme le glas d'une église. Au fond, je l'ai toujours su, je ne peux être le père de cette enfant. Je n'ai jamais voulu lui dire mais je suis stérile. Tout de même, ses mots me déchiraient. A sa naissance, quand j'ai posé mes yeux sur elle, j'ai demandé à faire un test de paternité. Shuiro s'était faussement offusqué de ma requête alors c'est sans son consentement que je l'ai fait.
Cela signifie que l'amour de ma vie, la femme de mes rêves, ma mie, fruit de mes désirs et objets de mes pensées m'avait trompé. Moi qui l'aimais comme un obsédé et qui l'avait accompagné tout au long de sa grossesse pour découvrir ou plutôt vérifié que je ne suis pas le père de son enfant.
Je me demande qui pouvait bien être le géniteur de cet être que je n'arrive pas à mépriser. Enfaite, je crois que je sais tout, tout depuis le début. J'avais plusieurs fois remarqué des appels et messages fréquents de mon cousin dans son téléphone. Je l'avais fouillé et j'y ai surpris des discussions mal foie bien déchirantes.
Je savais que Shuiro avait une double relation avec lui, je l'avait remarqué depuis 1 ans déjà mais j'ai toujours fait comme si de rien n'était.
Et dire que je l'ai tout de meme, demander en mariage pour pas que "notre" enfant soit illégitime, je me suis bien trompé, par Shisui qui plus est. Il a une femme en plus, je n'imagine même pas son état à elle, peut être qu'elle ne le sait pas encore ?
"C'est décidé, je demanderais les papiers du divorce aujourd'hui dans l'après midi."
Une phrase que je m'était bien trop souvent répéter mais que je n'avais jamais pu me résoudre à faire. Maintenant, je peux passer outre toute cette mascarade pour me baratiner en vain et enfin divorcer. Ducoup, je n'aurais pas la garde d'Honoka puisque que ce n'est pas ma fille. Je l'a regarde dans les bras de sa mère pour la voir une dernière fois.
— Pauvre petite, tu vivras juste avec ta maman parce que ton véritable papa ne voudras pas de toi. Je te souhaite de t'en sortir dans la vie car moi je n'aiderais plus jamais ta mère, trop peu pour moi.
Elle ne voulais pas signé ces putain de papier qui me séparaient d'elle et de la souffrance que j'ai enduré à ses cotés. Certes avec elle, j'ai vécu mes plus belles années, mais aussi les plus sombres. J'ai même failli faire un burn-out et elle n'avait rien vu de ma détresse.
— Je t'en prie mon amour ! Je t'aime vraiment et Shisui, ce n'était que l'espace d'une nuit. Je n'aime que toi, lui ce n'est rien pour moi. Personne ne compte autant que toi dans ma vie ! Tu pourras avoir la famille que tu avais toujours rêver d'avoir avec une magnifique petite fille. me repondit celle qui s'apprêtais à faire partie de mon passé.
Non, c'est bon ! Je ne me laisserais plus attendrir par ses paroles en l'air. Et dire que quand j'avais appris qu'elle était enceinte j'étais si content. Je suis carrément allé refaire un test pour voir si j'étais encore stérile.
— Tu les signes ces putains de papiers ou merde ? Arrête moi tes simagrées, sa m'énerve...
Remarquant mon ton anormalement froid et cruel, elle trembla et pris le stylo pour signer sous son nom. Son regard toujours remplit de larmes ne me faisait pas du bien à voir mais elle m'avait quand même brisé.

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▪︎Ensemble ▪︎ One-Shot
FanfictionSasuke et Sakura, deux âmes détruites par ceux qu'ils chérissaient tant mais c'est alors que grâce à leur trahison une rencontre fortuite se produit en eux. Ne pouvant résister au charme de l'autre, leur désirs ne font que s'amplifier de jour en jou...