CHAPITRE 1

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Et voilà encore une, une journée qui se rapproche de l'enfer


Cela est ce que je me dis sur le chemin me menant au collège en allumantune cigarette que j'ai préalablement volé à un éducateur du foyerou je vis...

J'ai quinze ans, je suis en dernière année de collège, ma mère a perdula vie suite à une hémorragie en mettant jour à la tienne... Maispapa, dévaster par la mort de celle qu'il aime le plus m'a prit pourcause et me haït depuis la minute où j'ai  vue le jour...

Mais il m'a tout de même garder avec lui, dans de très mauvaiseconditions certes. Mais j'ai quand même un peu grandis avec lui.

Mon souvenir le plus lointain est le poing de papa s'agiter en l'air pourfinir sa course sur mon visage. Et ça a continuer pendant encorelongtemps, enfaîte, ne s'est jamais vraiment arrêter depuis...

Jusqu'au jour où cela est partit trop, trop loin.

Beaucoup trop loin au point où mon père, qui était devenu mon bourreau aufil des années, en est venu aux armes blanches. Il est venum'entailler la peau au couteau que maman lui avait offert en cadeaupour son anniversaire dans le passé.

Mon père dépenser tout son argent dans toutes sortes de drogues,d'alcools ou autres conneries dans le même genre. Il était devenucomplètement fou au fil du temps, d'ailleurs je ne sais par quelmiracle je respire et marche en ce moment même.

Tout ce dont je me souvient après que ce couteau se sois enfoncer danschair est une phrase de la part de mon bourreau :


« C'est toi qui m'y a poussé »


Plus tard je me suis réveillé dans un lit d'hôpital des câbles reliésà mes bras et une dame assise à côté de mon lit

J'ai pu apprendre que cette dame était assistante social et qu'ellevenait me chercher pour me placer en foyer car mon père avait étaitjuger incompétent pour me garder au long terme.

Que je pourrais le voir les week-ends et retourner au foyer du dimanchesoir. Tout cela s'est passé quand je venais à peine d'avoir douzeans.

Si seulement j'avais sue à ce moment que mon cauchemar était loin des'arrêter j'aurais préférer être placer en famille d'accueil.Mais je ne pouvais pas me résoudre à abandonner mon papa, ilsouffrait trop de la mort de maman. Et maman n'aurait pas voulue quej'abandonne mon papa.

Au foyer, ce n'était pas toujours la joie, là bas c'est la loi du plusfort. Les enfants m'ont vite prise pour cible. Ils m'avaient enfermerdans les douches faisant couler l'eau sur mon corps qui avait étédécouvert par force.

Mon cœur me brûlait fort et mon souffle c'était quant à lui coupé.Je pleurais de tristesse, de rage et de peur.

Mon« baptême »  du foyer était passé le premier jour demon arrivé et encore, ce n'était que le début...

Pareil, cela ne s'est jamais arrêter, ça a plutôt empirer car leséducateurs ont commencer eux aussi a se libérer de leur rage enfrappant tout mon corps. Tout en évitant mon visage pour ne pasalerter le collège.

       

Et bien sûr ils ne se sont pas arrêter là, non trop facile, car c'estleurs plaisir et leurs envie qu'ils se sont mis à libéré en moi.


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Coucou, j'ai changé ce premier chapitre au départ il était à la deuxième personne

bisous mes stars

{ely}

love me ? {izana x reader}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant