Chapitre VI

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Février Mon réveil sonnai affichait Mercredi . L'heure de se réveillait. J'en avais marre de faire tous ces rêves. Je ne savais même pas pourquoi je les faisais en plus. Et les rendez-vous chez le psychologue n'arrangeaient vraiment rien. Je faisais la routine du matin. Je voyais maman s'activait pour nous préparer le petit-déjeuner. Cela me mettait du baume au cœur. -Bonjour ma chérie as-tu bien dormi ? Elle était charmante. Joliment âpreté. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait. -Oui et toi ? Merci d'avoir préparé ce petit-déjeuner. Je vois qu'en ce moment, tu es occupée.

Je voyais ma mère préparaient les toasts et d'un coup son visage changea. Je la voyais triste figée Elle posa le déjeuner sur table et s'asseyait -En parlant de ça, ma chérie, il faut que je te parle de quelque chose Qu'allait-il m'arriver encore ? Je sens une météorite me tomber sur la tête. -J'écoute. Je ne pouvais plus m'enfuir, j'étais piégée à écoute sa nouvelle. Je voyais qu'elle commençait à se ronger ses petites peaux de ses ongles, c'est de famille. -Nina mon boulot m'a permit d'être plus haut placée d'être cadre supérieur, on gagnerait plus d'argents. Mais il y a juste une condition.

J'avais le visage livide. Je la regardais avec des grands yeux.

-Il faudrais que pour quelques mois j'ailles travailler à New york. BAM mon Coeur explose en mille morceaux. Ma mère vient de m'annoncer qu'elle doit s'en aller pour son boulot qu'en gros, elle préfère son boulot à sa famille. Je suis choquée sous le choc, perturbée, je ne sais pas vraiment réagir. Dans ma tête, je pensais à une chose heureusement que j'allais sur mes 18 ans. Car elle n'aurait pas pu laisser un mineur tout seul. Il fallait que je lui réponde quelque chose. -Si c'est ce que tu veux vas-y, tu sais, je vais sur mes 18 ans bientôt, je pense être assez grande pour me gérer pour gérer la situation.J'avalai un toast, je n'avais trouvais que cela a lui dire. -Je te verserais des sous tous les mois sur ton compte en banque puis y ai Facetime ont pourra se voir. Elle attendait surement une meilleure réponse de moi, mais je devais réellement filer où j'allais être en retard. -Parfait désolé maman faut que j'y aille. Je repris un toast et partais J'étais à l'arrêt de bus, je réfléchissais à la conversation enfin plutôt le monologue que ma mère venait de me faire. J'allais vivre toute seule ? Comment allais-je

réfléchir le bus arriva. Je saluais le chauffeur, c'était toujours le même depuis le début de l'année. Puis je retrouvais Kevin. Je n'étais pas vraiment d'humeur le pauvre, c'est lui qui allait ramasser les morceaux. -Salut Nina -Salut Kev -tu n'as pas l'air d'aller. Me dit-il -Non désolé aujourd'hui, je veux rester seule si cela ne te dérange pas -Ok si tu le désires . Il faisait la moue déçue . J'arrive au lycée. Je devais aller à ces stupides cours. Alors que la terre venait de me tomber dessus. Ma mère s'en allait. Elle me laissait tomber. Comment réagir à cela ? Dans mes pensées, je me diriger en classe. Tel un automate je posais mon sac par terre m'asseyais et attendait le cours. Je n'ai rien écoutait du cours. Ma tête se dirigea vers la fenêtre, j'aurais aime être dehors. La neige avait fondu le printemps allé bientôt arriver.

je rêvassais comme toujours jusqu'au moment où j'aperçois des images qui sortent de mon esprit. Je me voyais à l'arrêt de bus. Puis sur un lit d'hôpital. Et plus rien. Les images se déroulaient rapidement dans mon esprit. Heureusement pour moi la journée était terminée. J'allais quand même voir Kevin pour m'excuser et lui dire au revoir. Il était avec son équipe de foot. Je devais criais pour qu'il me remarque -KEVIN ! Il courut vers moi -Écoutes ne m'en veut pas pour aujourd'hui, je t'expliquerai plus tard promis. Pas de réaction de sa part. Il était glacial. -Ken, tu viens. C'était sa bande. Je ne pouvais pas lui en vouloir, c'est moi qui ai jouait l'idiote.

Le bus arriva. Je montais dedans. Je montais dans le bus, il me fut une vision un éclair de fraction de seconde dans mon esprit. Je me vois étrangement à ce même arrêt de bus, mais je ne montais pas dedans ... Au contraire, je faisais tout pour ce mot me glace le sang. Mets, je voulais me projetterais contre l'autobus. Et par la suite, je me retrouve sur ce lit d'hôpital... Mais qu'avais-je donc fait ? Pour avoir ces visions faire ces rêves que ce passe t-il ? Que m'arrive-t-il ? Pourquoi moi ? Je jure que le prochain rendez-vous chez la psy sera plus concluant. Malheureusement, je n'avais pas le temps de plonger dans mes remords, car maman devait se préparer pour son voyage. -Man, tu es où ? -Je suis dans ma chambre ma douce -J'arrive ! On avait prisant l'habitude de se demander où nous étions. Je la rejoignais dans sa chambre. La scène me faisait rire. Je voyais ma mère sans dessus dessous avec sa valise ouverte et ses vêtements éparpillés dans toute la pièce. -Man besoin d'aide ? -Je crois que cela ne sera pas de refus. Puis on échangea notre regard complice. Elle avait l'avion ce soir pour 20 heures. Ils nous restaient une heure pour boucler ses affaires allé à l'aéroport et se dire au revoir. Sur la route, aucun mot ne sortit de nôtres bouches. Nous étions tristes de se quitter ... Puis je voyais le panneau terminal. C'était là que maman devait embarquer. Arrivant à sa salle d'embarquement, nous faisons un gros câlin et plein de promesses. J'attends dans l'attente que son avion décolle. Une fois partit, je prenais le chemin de la maison. Y avait un bus qui pouvait me ramener. Je franchis le seuil de la porte personne à l'horizon. Un tel silence. Je n'avais pas la morale pour me faire à manger. J'avais qu'une envie de me plonger sous ma couette. Pour moi, c'est un repère douillet. Puis je partis aux pays des rêves. Cette nuit là, je n'ai pas fait mes rêves habituels. C'était un rêve étrange.Je me retrouvais sur un lit d'hôpital en essayant de récupérer des forces . Ma famille autour de moi. Et une autre image apparue, j'étais à l'arrêt bus du lycée et quand je voyais le bus, je me suis jetée dessus. -Dring ! Fichu alarme, je ne devrais pas la mettre. Aujourd'hui, c'était

jeudi qui dit jeudi dit psychologue à 16 heures. J'enfile un jean troué ainsi qu'un t-shirt des ramones mettais mes écouteurs et partais pour la journée.

J'attendais le bus, je retrouvais Kevin dedans le saluait. -Salut Kev -He Nina, tu vas mieux ? -Ca va .Lui dis-je Je ne pouvais pas lui dire que ma mère m'avait plantée et que je me voyais me tuais. Nous faisons le trajet en silence. Notre complicité d'avant fut partie avec le temps et ma distance ... Je suis désolée pour lui, je suis comme ça. Je savais que je ne pouvais pas lui plaire. Je ne me sens pas en face pour avoir une relation.

Nina réveil toi Where stories live. Discover now