le noir, cette couleur qui m'entoure depuis des années aujourd'hui, qui représente mes idées et mon entourage.
J'ai toujours eu l'impression d'être à un rien du bonheur , j'y ai cru avec cette relation malsaine , puis avec des faux amis puis enfin j'ai compris que ce n'est pas les gens le problème mais plutôt moi, en soit je ne mérite pas ce que tout le monde espère, le bonheur.
Mais avant tout, je m'appelle Leya et passe dans quelque jour en classe de terminal générale grâce à mes bonnes notes du collège , et mon brevet mention très bien, même si tout cela n'est que mascarade et futilité car en réalité l' école ne m'a jamais emballée , je fais semblant pour pas que ma famille ne me rempli plus le crâne avec des histoires de future grande école ou alors à l'inverse d'un futur sans accroche.
Ma vie n'est que école depuis quelque mois, je ne prête ni attention aux gens, ni à l'amour, ni à ma famille, je n'ai que mon ami le plus fidèle et ma cousine. Je m'en fiche que les gens pensent que je suis bizarre ou aigri même selon certain, en réalité je sais qu'au fond je ne suis pas comme ça.
J'ai grandit seul avec ma mère suite au divorce avec mon père quand j'avais 4 ans , je ne le vis pas mal plutôt même bien, mon père est quelqu'un de perfectionniste et je n'aime pas ça , de plus il habite à l'étranger et ne prête pas attention à moi et cela ne me dérange pas, j'ai donc grâce à lui une belle mère, un demi-frère et une demi-sœur qui sont eux comme mes petits frère et sœur que j'aime énormément, ma belle mère est comme ma confidente, une amie pour moi.
Sur moi il n'y a pas grand chose à dire, je n'aime pas mon corps ni ma tête, je fais tout pour essayer de me plaire chaque jour en vain,
Pour être honnête, nous sommes le 24 août et je suis dans l'avion et reviens de mes vacances d'été chez mon père , il reste environ 20 minutes avant que mon enfer ne recommence et que mon seul moment de répit soit dérangé par les hôtesse de l'avion.
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J'attendais mes baguages quand mon téléphone sonna et que le nom de ma mère s'afficha, je ne décrocha qu'au bout de la troisième sonnerie, j'entendis la voix de ma mère que j'avais entendu juste avant le décollage, je me sentais partir petit à petit quand la voix de ma mère me réveilla pour me demander si ça va, je répondis rapidement que oui et que j'arriverais après avoir récupérer mes baguages, je pris donc mes deux valises rouges, quitta l'assistance et m'en alla vers la porte de sortie. A peine avait-je fait quelque pas que je vis ma mère me sauter au cou en me disant que je lui avais manquer, j'étais heureuse de voire cette mère enfin épanoui, je me rappelle d'il y'à quelque année quand elle était dans une relation toxique et qu'elle ne prêtait plus attention à moi.
Assise dans le train direction ma ville les questions s'empressaient dans ma tête et se bousculer en me causant un mal de crâne, ma mère assise en face de moi remarquait évidemment mon malaise mais ne réagissait pas, enfin plus.
Accompagnée de ma mère et de ma petite cousine nous sortons du train, écouteur dans mes oreilles je ne prêtais pas attention au monde qui tournait autour de moi, malgré ça j'entends ma cousine tomber derrière moi et ma valise quelque mètre plus loin et mon premier réflexe fut de m'empresser l'aider à voir si elle allait bien, ce qui était le cas alors que je tournais la tête pour chercher ma valise de vu , plus rien. je me leva donc en sursaut dut au nombreuse affaire qui avait une très grande valeur à mes yeux qui était peut être perdu , je fis volte face et un garçon se livré devant moi.
Il me rendit ma valise que je cherchais tête baissée. je ne savais pas quoi dire à part merci, il leva les yeux vers les miens, il me souri en me disant simplement de rien, son regard était aussi vide que le mien, je suis prise d'une émotion inconnue et dit par surprise
