Moi et mes demies sœurs

Une virée entre frère et sœur

-On y va?
-On déjeune pas?
-Non pas besoin. J'ai pas envie que tu vois Yayoi et qu'elle t'emmène avec elle.
Bah pour avoir vu Yayoi je l'ai vu...
-D'accord.
On sortie de la maison en saluant les parents et Kiko. Yayoi était dans sa chambre. Kiko avait ses cheveux argentés qui lui retombais sur le visage parce qu'elle venait de se coiffer mais je pouvais voir qu'elle me disais de me tenir à carreau.
Sur la route je demande à Miri pourquoi Kiko à les cheveux argentés.
-Elle a les cheveux argentés comme notre mère. C'est une particularité que moi et Yayoi n'avons pas.
-Ah bon. Je pensais qu'elle s'était fait une teinture.
-Si Kiko fait une teinture c'est qu'elle est devenue folle. Elle adore ces cheveux et physiquement c'est elle qui ressemble le plus à notre mère.
-Ta mère te manque pas vrai.
-Ouais...
-Dis-toi que tu l'as connu au moins.
On s'enlace dans la rue. J'adore la chaleur de cette petite blonde. Quand je vois ces beaux yeux bleus je peux me perdre dedans. Est-ce qu'elle ressent la même chose pour moi?
On continua le chemin en rigolant et arrivée au centre-ville On regarda les boutiques puis les yeux de Miri se posèrent sur un Magazine pour ado.
-T'aimes ce genre de Magazine?
-Oui en plus il vient de sortir. J'aimerai me l'acheter mais je n'est pas d'argent.
Je me sentais mal et je voulais lui faire plaisir alors je lui prit la main et la tira dans le magasin.
-C'est ce que tu veux?
-Oui. Tu vas me l'acheter?
-Oui.
On se dirigea vers le vendeur et je lui donna le magasine et Miri me serrait dans ses bras.
-Tenez.
-Merci.
-Vous formez un si beau couple. J'adore les ados comme vous.
-Ah merci monsieur mais comment dire... c'est ma demie-sœur.
Miri me donna un cou de pied dans le tibia.
-Je suis désolé je ne savais pas.
-Aie! Ce n'est rien. Miri.
On sortit du magasin et je lui tendu son livre.
-Pourquoi tu m'as frappé?
-J'aime pas que tu dises qu'on est demis-frère et sœur.
-Et tu veux que je dise quoi?
-Je sais pas...
On continua de marcher mais cette fois silence.
-Je vais nous chercher une boisson.
-Ok.
Je me dirige vers le petit café du centre ville et je demande deux lattés.
La serveuse s'avança vers moi puis poussa un petit crie. C'étais Kiko. Elle travaillait dans le petit café du centre ville!!!
-Pas un mot à personne compris?!
-Oui.
-Je t'apporte tes lattés et je te rejoins dehors.
Elle m'apporte mes lattés et me rejoignit dehors.
-Je travaille ici mais ne dit rien aux parents.
-T'en fais pas. Mais pourquoi tu travailles ici?
-Parce qu'après le lycée je vais partir étudier dans une grande université et j'aurai besoin d'argent.
-Ok.
-Tu trouves ça débile pas vrai.
-Non pas du tout. Tu m'impressionne.
-Bah t-es un des premiers.
Elle me fit un baisé sur la joue et partit.
Miri arriva ensuite sur les nerfs.
-C'étais qui cette fille?
-Une amie.
-C'est la fille que tu aimes?
-Quoi pas du tout!
-Mouais. Alors pourquoi tu rougis?
Parce que je n'est pas l'habitude qu'une fille m'embrasse la joue...
-Pour rien...
-C'est ça c'est ça.
Elle me tira par le bras pour rentrer à la maison.
-On rentre! Je ne veux pas que tu vois une autre fille quand tu fais une sortie avec moi.
Je rêve pas. Ma sœur est hyper possessive.
À la maison les parents sont surpris qu'on soit déjà rentrée tandis que moi qui vais dans la chambre de Kiko.
Toque
Personne ne répond. Elle doit sûrement ne pas encore être rentrée. Kiko est vraiment une fille forte, avec la mort de sa mère et le fait qu'elle se préparent vite pour l'université.
Voyant qu'il n'y avait vraiment personne je préféra rentrer dans ma chambre. Je m'enroule dans ma couverture puis je commence à lire mes magazines. Ce n'étais pas des Magazines de mode pour Miri. C'étais des magazines pour instruire les garçons de mon âge, si vous voyez ce que je veux dire.
J'entends la porte s'ouvrir et je vois Yayoi rigoler.
-OUAAaaah.
-Oh c'est bon. Je comprends qu'un garçon de ton âge est besoin de voir ça.
Je commence à rougir par parce que je venais de lire quelque chose d'intéressant mais plutôt que ma sœur m'avait surpris au mauvais moment.
-Tu ne vas rien dire au parents pas vrai?
-Oui c'est bon. T'en fais pas.
-Ouf Merci. Tu peux partires s'il te plaît.
-Alors c'est comme ça que tu remercies ta sœur pour qu'elle garde un secret?!
-Tu veux que je fasse quoi.
Elle s'approcha de moi. Se posa sur le lit, rapprocha nos têtes et au dernier moment tourna la tête pour ne pas m'embrasser.
-Tu es frustré pas vrai.
-Quoi pa-pas du tout
-Ta rougeur parle pour toi.
Elle s'en alla toute contente de ce qu'elle venait de faire.
Ah la la. Pourquoi ai-je une sœur aussi timbrée?