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Quand vous êtes enfant, vous êtes majoritairement des enfants énergiques, pleins de vie, qui rigole sans cesse, et bien moi c'étais l'inverse j'étais devenu une petite fille calme, renfermée sur moi-même, qui ne parlais presque jamais. Autrement dit, tout l'inverse de l'adolescente que je suis aujourd'hui. Mais, c'était plus fort que moi je n'arrivais pas à créer un lien avec mes camarades j'angoissais beaucoup trop, j'avais peur mais par la suite tout à changer.

Je me rappelle de quand j'étais enfant à l'école, dès qu'il y avait une chorégraphie à la kermesse ou, encore quelques choses avec les autres enfant; je me positionnais toujours au fond, je ne voulais pas que l'on me voit. Quand j'étais plus jeune, je faisais de la danse, de la danse contemporaine c'était sympa je m'amusais bien. Mais qui dit danse en club, dit spectacle de fin d'année avec des centaines de gens, qui vous regardent dansaient vous et les autres enfants sur scène. Et comme pour la kermesse j'étais toujours au fond de la scène, je n'est que très peux de souvenirs de quand je dansais sur le devant de la scène. Mais a l'époque, sa ne me dérangé pas tant que sa, les gens ne me regardaient pas, donc sa voulais dire qu'ils ne me parlaient pas et que je ne communiquerai pas avec eux. J'étais ceux que l'on appelle une petite-fille timide.

Les années sont passées doucement mais sûrement. L'école primaire aller se terminer et j'allais donc rentrer au collège.
Je me rappelle en primaire sa se passait plutôt bien, je ne pleurais pas tant que sa c'était plutôt rare. J'avais changé, je n'étais plus cette petite-fille toute timide, qui se cachait des autres. Je n'avais plus peur de communiquer avec mes camarades, je rigolais beaucoup plus, je m'amusais donc beaucoup plus. C'étais selon moi une période de ma vie, formidable.

Quand j'étais en primaire, j'arrivais encore à aller au cimetière, à l'église c'était possible. J'aimais me rendre au cimetière parler à mon père sur ceux que j'avais fais cette semaine, je lui racontais tout dans le détail, comment sa se passait, si a l'école j'avais eu des bonnes appréciation ou non, comment sa
se passait à la danse et au judo. Par-ce-que oui, je faisait et je fais encore du judo c'est un moyen pour moi d'extérioriser tour ceux que je ressent, mes sentiments.

La primaire c'était terminé. Je suis rentré dans un collège, un collège ou je ne connaissait personne hormis mon « cousin ». Je n'étais donc pas seule. La rentrée arriva et ceux que je redouta c'est passer j'ai pas réussi à gérer correctement mes sentiments. Je pleurais facilement. Dès que l'on parlais de famille, ou que le sujet ne soit que rapidement mentionné. Je pleurais c'était plus fort que moi. Alors, j'ai rapidement pris rendez-vous avec le psychologue de mon collège, on vas plus-tôt dire que l'on me l'a conseillé. Ma peur numéro 1 c'est ouvert c'est a dire, la peur du regard des autres le mépris des autres.

 Le passé fais toujours malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant