Valentina

79 1 0
                                    

Dégage,dégage,dégage !!!

Laisse moi tranquille,pourquoi tu me parles,pourquoi,tu me parle qu'est-ce que j'ai fait pour que tu viens me parler!!!

Dégage,dégage,pitié je t'en supplie fiche moi la paix.

Je t'en supplie pourquoi me parle tu?

Tu vois pas que je veux être seul,oui seul sans toi,sans tout le monde.

SEUL...oui seul fiche moi la paix.

Personne m'aime pourquoi vient tu me faire chier comme ça,pourquoi vient tu me soûler.

Il parut triste,il recula de deux pas avant de faire demi-tour et de partir.

Enfin me dis je à moi-même.

Il fessait demi-tour et son que je m'en rendre compte il approcha et me prit dans ses bras.

Je me débattue sans grand convictions.

Et sans me rendre compte je pleurer,oui je pleurais tout les larmes de mon corps.
Je pleurais à en faire perdre la tête.
Je pleurais comme une madeleine dans les bras de la personne que je haïssais le plus au monde comme je l'aimais.

La personne qui m'as soutenue comme laissait tomber elle m'aimait comme me détestais autrefois cette autre personne n'étant juste que mon frère.

On était là assis sur ce sol froid,en haut d'un building. Celui qui devait me rendre heureuse m'a finalement rendu triste au point de pleurer.

Mais le problème c'est que je voulais le faire,je voulais sauter,alors je me levais.
J'avais tellement froid mais je contait pas abandonner comme ça,alors je poussais avec le peu d'énergie que j'avais.

Il me regarda et me dit:
« Je sais j'étais pas un bon grand frère,j'ai pensé que à moi,je fessait pas attention à toi qui était ma seul famille et j'en suis désolé mais si tu saute,je saute...oui je sauterait avec toi pour te prouver que je tiens à toi et pour m'excuser de la méchanceté que je t'ai fait ».

Je fessais même pas attention à lui et je sautai et il l'attrapa par le bras inversa les rôles et tomba a ma place.

Je restait quelque seconde,avant de le rejoindre je réussissais de l'attraper et avant que nos deux corps rencontreraient le sol il m'a dit des mots que je soupçonnerais jamais entendre de lui c'est mots était la preuve vivante que j'existé.

« Je t'aime ma Valentina, je t'aimerais toujours »

Et dans les dernière instant je l'ai pris dans mes bras avant de l'embrasser la joue et de lui adresser ses mots:

« Je t'aime aussi Arthur »

                                                                      Fin

Valentina Où les histoires vivent. Découvrez maintenant