Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu'à ce que je tombe dans cette organisation criminelle, dont mon frère fait partie. Il fallait que je reste auprès d'eux,
pour ma soit disant...
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Nous arrivons près du bâtiment. Je regarde Ran qui conduit et lui demande de ralentir et de se mettre dans une ruelle. Je sais que ça paraît bizarre, mais je fais tout pour regarder le moment. Surtout qu'on a vingt minutes d'avances.
— T'as déjà fait l'amour dans une voiture ?
— Jamais testé pour le moment. Tu veux essayer ?
— Tu peux me faire jouir en un quart d'heure ?
— Biensur que je peux !
— Je crois que ce que je vois, alors prouve le moi, mâle Alpha !
Il rit et vient m'embrasser fougueusement puis me fait l'amour et me fait jouir en moins d'un quart d'heure. Après qu'on ait parlé quelques minutes de plus, et qu'on s'est rhabillé, nous sortons de la voiture seulement pour mieux se rhabiller. J'essaie de réajuster ma robe et le regarde.
— Ca va comme ça ? demandé-je.
— Je te trouve parfaite, dit Ran avant de venir embrasser le sommet de mon crâne.
Nous remontons dans la voiture et nous dirigeons vers le lieu où se déroule l'événement. Nous sortons de la voiture une fois que le voiturier a pris les clés, puis Ran enlace ses doigts aux miens.
Et avant d'entrer dans la salle, des milliers de questions me viennent à l'esprit. Bon ok, peut être un peu moins que des milliers. Mais cela fuse de partout et je ne sais plus où donner de la tête. Des dizaines de scénarios si ça tourne bien ou mal, comment je devrais réagir. Mon cerveau tourne à plein régime et je m'arrête brusquement, peu sure de moi.
— Anya ?
— Ran. Si j'y arrive pas hein ? Si je m'effondre en le revoyant ou que je le gifle, ou même que je le pardonne. Je fais comment ? Ran je ne sais pas comment je vais réagir et ça me fait peur et..
Mes paroles se muent alors qu'il l'embrasse. Un baiser doux et à la fois passionné. Pas celui avec la langue quand on fait l'amour, mais celui où il me montre sincèrement son amour.
— Je suis là, mon coeur. Je serais toujours avec toi alors ne t'en fais pas s'il te plaît. Je veillerai sur toi.
— Comme mon ange, sourié-je pres de sa bouche.
— Comme ton ange. Allez, viens par ici.
Finit les formalités ! Ran me serre contre lui tout en avançant et en montant l'escalier. Plus de je te tiens la main pour faire bonne figure, là il est vraiment la pour moi et sait que j'aime lorsqu'il me soutient.
