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Quand vous êtes enfants vous avez plus de peur que quand vous êtes adulte logiquement.
Moi c'est l'inverse j'en ai plus au fil est a mesure que je viellie.

Au début il y a les peurs courantes. Les araignées et les clowns. Maintenant il y a peur des piqûres que si elles sont sûrs moi (quand je me fais vacciner par exemple, prise de sang,... ),peur du noir, peur du silence, peur de quand il y a trop de bruit, peur d'être seul dans le noir mais surtout peur de s'endormir. Je n'ai pas du tout la paralysie du sommeil. Loins de là.
Mais je vais avoir peur en quelques sorte de fermer les yeux. J'ai peur que quand je vais m'endormir, que je me pose des questions, que le ciel m'abandonne, que à mon réveil je me retrouve seule, sans personne. C'est tout de même étrange de réagir comme ça, mais bon c'est la vie, mon organisme ne m'a pas fait de « cadeaux » il m'a lâché. Mais je suis comme je suis.

J'ai accumulé toute ça.

Mais je crois que dans tout sa, ce qu'il fais le plus peur sa vas être le regard dés autres. En soit je m'en fiche de ceux que les autres ils pensent de moi. Mais vous savez ça vas me faire quant-ils vont me regarder lorsque je me sent pas bien. J'ai peur de voir de la pitié dans leurs regards qui n'est que rassurant pour la plus part.
Mais c'est comme sa, après tout je me « dégoûte » moi même.
Pourquoi ?
Par-ce-que j'ai l'impression d'être une personne faible. Une personne qui pleure sent cesse, une personne qui n'est pas capable d'être en accord avec ses émotions, une personne qui n'arrive pas à savoir ceux qu'elle veux. C'est en partie pour sa que je ressent sa, et que j'ai donc peur du regard des autres dans mes moments de « faiblesse ».

.......

Quand je fais mes crises ou que je pleure simplement de chagrin, au début j'avais des moyens pour que je puisse penser à autres choses.
En primaire et sixième j'avais un petit calepin ou album photo je me rappelle plus trop. Les souvenirs sont plus-tôt vague. J'ai garder ces photos tout de même assez longtemps j'étais bien avec, quand je l'avais près de moi j'étais heureuse, jovial, j'étais courageuse. J'étais « normal » comme toute ces petites filles de mon âge. En cinquième et quatrième je n'avais plus rien. Et en troisième j'avais 2/3 choses. La première la voix de mon grand-père, sa voix m'apaisait et le fais encore bien évidemment. En deuxième j'avais mon petit doudou que ma grand-mère m'avait fabriqué que je prenais avec moi. Même si à la fin du collège je prenais carrément mon doudou, je me moquais pas mal de ceux que les autres pensaient du faite que je le prenne avec moi. Et la troisième on vas pas en parler tout de suite, mais elle étais tout de même là.

Je crois que quand une personne en aime une autre, je pense que dans tout les cas il y en a l'un des deux qui aura plus mal que l'autre.'
Prenons l'exemple d'une femme lorsque elle tombe amoureuse comme elle n'a put l'imaginer mais que cette amour est a sens unique elle souffre. Mais je crois qu'elle souffre encore plus que quand la personne d'en face vas la laisser pendant quelques instants, cette femme se pose milles questions et la première est généralement, « que-ce-que j'ai donc bien put faire pour qu'il me laisse ? ».
Si l'autre nous laisse on vas se remettre en question se dire que c'est nous le problème.

Mais je crois que même si l'on souffre et que l'on fini par oublier cette personne en amour. Je ne pense pas que l'on puisse définitivement arrêter d'oublier quelqu'un que l'on a aimé après tout, avec cette personne nous avons passé de merveilleux moments, des rires jusqu'à en pleurer, les quelques instants de complicité, les petites chamailleries seront toujours présentes dans notre cœur. Enfin c'est ceux que je pense.

Mais après je suis sûrs d'une chose il n'y a rien de plus douloureux qu'un amour à sens unique qui dure des années...

 Le passé fais toujours malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant