The Scandal

Chapitre 26. Flaschback.

Jonathan est réveillé par des tendres caresses sur son corps. Il ouvre ses paupières pour faire face à sa fiancée allongée dans lit à ses côtés.

- Salut belle inconnue

- Salut mon inconnu.

Ils sourient avant d'échanger un tendre baiser.

- Je vais essayer quelques robes de mariée avec Elsa.

- Ah c'est cool ça.

- Ouais c'est super.

Le jeune homme descend du lit attrapa son peignoir puis il invite sa fiancée avec lui sous la douche.

- D'accord, je te suis. Dit-elle avant de se lever pour le suivre.

                                              ***
Jonathan, n'a pas eu le temps de prendre son petit déjeuner. Il se rend au cafétéria prendre un café là où il retrouve  son ami.

- T'es en retard toi aussi ? 

- Oui. Lisa a dormi cette nuit à la maison. Et toi ?

- Mes parents ont débarqués chez moi hier soir. En plus, j'étais avec Adèle. Je te laisse deviner la scène.

- Ah ouais ! Et vous faisiez crac -crac ? Ça doit être gênant en effet.

- Non, on faisait rien du tout. Pourquoi vous avez l'esprit aussi tordu, hein ?

- Attends mais c'est logique ? Alors vous faisiez quoi ? 

- Tu m'as coupé toute l'envie de te raconter ma soirée.

  - Comme tu veux, sourit le jeune homme, Alors, t'en es où ?

- Je crois qu'elle t'a menti, elle n'a pas encore d'avocat du moins d'après ce que je sais.

- Pourquoi, elle m'a dit qu'elle en avait alors ?

- Tu n'as pas encore compris qu'elle n'a pas envie de te voir.

- Et, j'ai besoin de savoir pourquoi.

- Il n'y a pas d'autre raison... enfin, tu vois ce que je veux dire.

- Enfin non !

- J'espère.

                                                    ~~~~~
Les enquêteurs ont pu avancer sur l'enquête. Ils interrogent Chloé sur un couteau de cuisine ensanglanté qu'ils sont retrouvées enterré sous la terre avec ses empreintes dessus. Mais la jeune fille nie d'avoir un rapport avec ce couteau.

- Je... je ne sais pas de quoi vous parler. Je n'ai jamais vu de couteau.

- Pour les harcèlements vous ne savez rien non plus ?

Ils ont aussi trouvées son téléphone qu'elle avait oublié sous la panique.

- J'étais en colère contre lui. Je ne pensais pas ce que j'ai dit.

- Laissez-moi vous faire un résumé de cette nuit-là, vous lui demandez de divorcer de sa femme parce que vous ne supportez plus d'être la deuxième mais, il refuse et pour couronner le tout, il vous a viré. Je comprends vous étiez en colère contre lui, d'où les menaces....

- Non, vous dites n'importe quoi. Il n'y avait rien de sérieux entre nous.

- Vous en êtes sûr ? Lui questionna un des enquêteurs. Vos échanges avec lui nous laisse penser le contraire. Continue ce dernier.