Warframe Prototype 1 | AnkeAlien

Chapitre 0 - Prologue : Le Prototype 1

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Palais Orokin, avant la guerre Sentient...

*on voit une sorte de laboratoire au mur dorée et luxueux*

?- Alors Doc ! Les fameuses "Warframes" ça avance ?

D- Tu sais que je n'ai pas le droit de parler de ce projet. Les Exécuteurs Orokins me tuerais.

?- Ahah c'est vrai !

?- Ça rigole pas avec eux.

"Les beaux jours..."

?- AHHHHHHH!!! *cris de douleur*

"..."

*on voit maintenant les deux hommes du début autre pars*

D- Le Zariman? Tu vas faire cette mission avec ta famille ?!

?- Ouaip. Les Orokins ne nous laissent pas le choix.

D- Mais, c'est de la folie, on connaît à peine le Néant, qui sait ce qui vous attend ?

?-...

D- VIR! Tu veux vraiment perdre ta fille et ta femme ?!

V- BIEN SÛR QUE NON !

D- Écoute moi.

D- Les warframes sont des armes de guerres vivantes. Quoi qu'il t'arrive-.

V- Ma fille, je veux la protéger, mais seul je suis faible... J'ai beau être aussi un scientifique, tu as toujours bien plus briller que moi.

V- Et tes avancées ont toujours améliorer nos vies.

V- Donc protège la. S'il te plaît.

D-...

D- Compte sur moi. Ma création personnelle lui sera dédiée, elle sera parfaite.

"Parfaite que j'ai dit ? Ahahah..."

*on voit une chambre avec le Doc seul*

D- "pense" le Zariman a été détruit et perdu... Le Néant était encore bien trop incompris.

D- PUTAIN ! *frappe le mur*

D- Orokin de MERDE !!

D- *prends une seringue étrange*

D- Je vais accomplir ma promesse.

D- Elle est en vie. C'est sûr.

*couloir sombre*

D- "pense" Mon instinct me crie qu'elle est en vie.

*on voit des cellules de prisonniers*

D- Désolé. Mais je vais te demander de me suivre.

?- Q-Qui êtes-vous...

D- Un scientifique Orokin qui travaillait pour les Septs. Lève toi.

*attrape sa main*

*on voit une femme sale*

?- Vous m'emmenez où ?

D- Désolé.

*laboratoire, la femme est allongé comme pour être opérer*

D- Je vais vous injecter l'infection Helminth, vous allez devenir ma création, une combattante vivante. Une, "warframe."

?- J-Je.

D- La douleur est atroce. Mais je n'ai pas le choix, pitié excuse moi.

?- Je ne vous en veux pas monsieur.