Nuit Blanche (Terminé)

La maison d'à côté

Je fixe mon ordinateur encore et encore, elle est entrain de s'habiller. Son corps est parfait, elle a tous ce qu'il faut. Je me surprends à caresser sa silhouette à travers l'écran. Putain ce qu'elle est belle, sexy et surtout qu'est ce qu'elle est bonne. Sa fait plusieurs mois que je l'espionne et aujourd'hui j'allais me la faire. Je mastique de plus en plus jusqu'à giclé mon nectar dans ma chaussette. Mon coeur resonne dans ma tête tandis que je reprends mon souffle.

Toutes les conditions étaient réunis, son mari était absent et il la délaissait complètement. Si ce connard ne sait pas profiter de la chance qu'il a d'avoir une nana pareil, moi j'avais les yeux et les capacités pour. Chaque soir je me branle en pensant à elle, en rêvant d'elle. Elle, la femme de la maison d'à côté. Elle hante mes pensées à un tel point que sa m'est vital de la voir.

Je me rendis chez elle le sourire grand comme toujours. Elle me laissa entrer non sans avoir échanger quelques banalités. Elle était en maillot de bain et m'annonca qu'elle allait se changer pour me laisser travailler tranquillement je dû user de tout mon self contrôle pour ne pas la suivre jusqu'à sa chambre pour la niquer contre le mur. Mon pote et moi avons monter une petite entreprise de jardinage,nettoyage dans le quartier afin de nous faire un peu de blé pendant les vacances histoire de tuer le temps.

Je retira mon haut et m'occupa du jardin tout en jettant des coups d'oeil furtif dans la maison. Elle était réapparu dans une petite robe volante que j'avais envie de lui retirer afin de passer ma main dans sa culotte. Elle lisait un roman tout en regardant de temps dans ma direction pour suivre de près mon travail. Il n'y avait pratiquement rien à faire dans le jardin c'était mon excuse pour la reluquer et voir s'il y avait moyen de la sauter. Jamais j'aurai cru que du haut de mes 17 ans une femme de la quarantaine pourrait me faire autant d'effet, encore moins une femme mariée. Mais c'était ce détail qui en principe devait la rendre indésirable à mes yeux qui m'excitait le plus, elle m'était interdite et j'avais encore plus envie de lui sauter à la gorge.

Je m'approche d'elle bien décider à la regarder de plus près et de trouver n'importe quel excuse pour qu'elle se lève ou se penche au choix. Elle lisait un roman sur la stimulation du clitoris et s'était pas encore aperçu de ma présence.
- Excuser moi madame... lui dis je en lui touchant le bras, elle frissonnait.
- Oh euh oui Matt? Me répondit elle le rouge au joue.
- Euh j'ai fini et j'aimerais avoir un l'eau à boire.
- Quoi déjà ? Lança t elle surprise
- Oui il n'y avait pas grande chose à faire.

Je la suivis jusqu'à sa cuisine elle était nerveuse en ma présence. Elle ouvre le frigo et j'imagine ses longues jambes se renfermer autour de ma hanche. Sa bouche sensuelle s'écraser sur les miennes tandis que mes mains masseraient son corps de déesse que j'aimerais honorer... Je soupire et reprend mes esprits, elle me rend complètement fou. Elle me serre un verre d'eau que je vide d'un trait. Il fait que je fasse quelque chose et vite, il faut impérativement que je me l'a fasse j'en peux plus.

Je frotte mes mains devant mes yeux.
- Sava pas Matt, je te trouve bizarre depuis ce matin, un problème s'enquiert elle en se rapprochant.
- Excuser moi madame j'ai une poussière dans l'oeil vous pouvez m'aider? Lui dis je en me rapprochant encore plus d'elle.
-Oui bien sûr, où veux tu que je souffle? Ses mains
-Juste ici.
Sans qu'elle ait le temps de comprendre je scelle nos lèvres dans un baiser qui enfle mon jogging.

Elle me gifle et je fonce à nouveau sur ses lèvres envoûtante, cette gifle me fait l'effet d'un stimulant, je l'a désire encore plus. Mon instinct de mâle est en alerte mais malgré tout, je ne pourrais rien faire si je n'ai pas son consentement.
-As tu perdu la tête ?
- Tu peux me gifler autant que tu le veux j'arrêterai pas de t'embrasser au final tu auras les mains fatiguées et les lèvres gonflées. Tu me plais Catalina, je te désire à un tel point...
-Tu es un gamin, un mineur qui plus est.