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Loren Gray - Queen (Lyrics)
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Tous ça à cause d’une bague.
Il y a trois jours, j’ai dérobé une bague en or pure, incrustée des pierres précieuses les plus rares au monde.
Une bague valant des milliards et que j’avais volé sans le savoir, à « la Chouette ». Grand Patron de la mafia des États-Unis d’Amérique.
Je ne m’en suis rendue compte que lorsque j’ai vu le symbole d’une chouette gravé à l’intérieur de la bague. Mais il était déjà trop tard.
Lorsque je suis partie pour le travail ce matin, je n’aurai pas imaginé qu’il me trouverait aussi tôt et me poursuivrait carrément à l’intérieur d’un des plus haut gratte-ciels de Washington.
Mais j’étais maintenant coincée sur le toit de celui-ci, alors que lui et ces hommes me visaient avec leurs armes à feu.
_Où est-elle ?! Me demande-t-il une nouvelle fois en s’énervant.
_Je ne l’ai plus. Elle a été vendu à quelqu’un sur un autre continent. Je réponds le plus calmement possible.
La vérité était que je l’avais toujours sur moi actuellement, mais que j’avais pour objectif de la garder.
Après tout, cette bague est vraiment très belle. Et puis j’ai toujours eu un faible pour l’or et les pierres précieuses.
Un rire fou lui échappa. Ernesto Rimanora avait vraiment de sérieux problèmes. Mais actuellement, c’était moi qui était en danger de mort. Pas lui.
Fichu bague ! Qu’est-ce qu’il m’a prit de la lui volé !?
_Je te laisse le choix. Soit tu meurs transpercé par nos balles. Soit tu sautes du haut de ce magnifique gratte-ciel.
_Et qu’est-ce qui te fait dire que je n’ai pas la bague sur moi ?
Mais qu’est-ce que je raconte !??
_Tu vas mourir quoi qu’il arrive. Et puis, ne privons pas les habitants d’un beau spectacle. Ton corps écrasé au sol, réduit en charpie par la gravité. Un magnifique tableau et traumatisme qui en fera cauchemarder plus d’un. Dit-il avec un air de satisfaction.
A la limite de s’il en bavait...
Je regarde par-dessus mon épaule, voyant à quelques pas de moi la fin du tout de l’immeuble. J’avais le choix. Soit je saute, soit je sers de mannequin…
Je préfère largement le petit vol plané… ou en piqué…
Je le regarde à nouveau lui et ces hommes et me mit à reculer doucement sous les yeux ébahis de certains.
Mes pieds atteignent le bord de l’immeuble. Je ne regrettais pas d’avoir vécu, même si ça n’avait pas toujours été facile.
Mon jeu préféré a toujours été celui du chat et de la souris. J’aime être poursuivit en sachant que j’ai l’avantage. Mais un jour, le chat finit par avoir le dessus et la souris par être prise au piège.
C’était chouette d’avoir pu vivre toute cette dose d’adrénaline. Mes parents n’auront jamais rien su, comme tout le reste de ma famille ou bien mes amis.
