Baji x T/p (Terminé)

Une mauvaise rencontre

Avant de commencer, je tiens à présenter le personnage et la forme de l'histoire :
T/p, 21 ans, 1 père sournois, irresponsable et alcoolique mais peu violent, vit à Tokyo.
Baji 26 ans, gangster, violent, pervers, psychopathe, vit à Tokyo.
En gras c'est moi qui parle.
Vous serez prévenu lors des lemons 🍋. 1er de mes histoires ou le narrateur est intérieur, le pronom utilisé est "je".
Bonne lecture
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Il était 19h30. Je suis en 3e et je travaille dur pour réussir à décrocher mon brevet . Je voudrai faire médecin pour bien gagner ma vie et avoir un appartement loin de mon père. Ma mère est morte quand j'avais 5 ans, mon père l'a très mal vécu et il est devenu alcoolique. En 9 ans il m'a frappé 7492 fois. Oui je me suis amusée à compté mais bon, ça m'a traumatisé et ça m'a permis de faire des probabilités et de savoir quel alcool le rendait violent. Bref, j'étais passée à la bibliothèque pour étudier mais elle allait fermée. Donc toujours le nez plongé dans mon livre de science, je traverse les rues et évite les gens avec nonchalance. Il commença à pleuvoir très fort alors je dus rangé mon livre pour ne pas l'abîmer.
Je décide de prendre un raccourci car le temps est très mauvais et que je suis déjà trempée.
Je m'avance d'un pas rapide dans les ruelles certes sombres et malfamées de Tokyo mais aussi les moins empruntées et les plus rapide. J'arrive presque à destination, dans ces rues on est presque tout le temps à l'abri de la pluie donc je prenais mon temps. J'entendis un homme sangloter.
"- Je vous en supplie, me faîtes pas de mal.
-*rire machiavélique*"
*Coup de feu*
Je sursaute en voyant la forme d'un homme grand et musclé se dessiner dans l'ombre. Je me retourne et cours pour lui échapper. Je l'entends rire.
"Tu ne m'échapperas pas ma jolie."
Trop pressée, je me perd dans les rues et tombe dans un cul de sac. Sur le mur, l'ombre de l'assassin se dessine. Prise de peur je me fait toute petite dans un coin sombre.
"- Te voilà !
- V-vous me voulez quoi ?demandai je peu sereine.
- Toi voyons, c'est évidemment."
Il se remit à rire et dans mes yeux se dessinais de l'effroi.
"- N'es pas peur, relève toi.
- Comment veux tu que je n'ai pas peur alors que t'as un flingue ?
- Ce n'est qu'un détail."
Il pointa son arme sur moi.
"Debout"
Et je me lève. Il s'approcha de moi. Il était très proche. Il s'approcha de mon oreille et me lâcha un:
"Bouh!"
Qui me fit sursauter. Il rigola encore et me regarda en carressant mon visage.
"Bonne nuit mon ange."
Puis, plus rien.