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Prologue

Septembre est le mois que je hait le plus. Pas parce que les gens reprennent leur travail ou les cours,pas parce qu'il fait froid, mais parce que c'est ce mois ou il ma quitter, qu'il a laissé mon cœur sur la bord de la route après l'avoir piétiné sans se soucier du mal que j'aurais pu ressentir.C'est ce mois ou je me suis sentis mourir, ou je commençais à comprendre tout ces gens au cœur brisé que je jugeais sans arrêt car je ne pensais pas que cela pourrait m'arriver un jour car je n'étais habituellement pas la personne qui s'attacher au point de ne pas savoir vivre sans un personne. Mais j'ai surestimé les sentiments que j'avais pour lui, peut-être avais-je peur de me sentir faible en sachant que je l'aimais à ce point. Qui sait ce que mon coeur essaye de cacher, mais il a été aussi perdu que moi le jour ou il est parti. Qui pourrait-il aimer si ce n'est pas toi ?

Longtemps je me suis rassuré en m disant que mes sentiments n'étais seulement qu'un manque d'affection ou alors parce que savoir que je n'étais plus aimé me déprimer. Mais même au bout d'une année il continue de me hanter. Je vie maintenant avec ce vide qui me ronge petit à petit en essayant de refaire ma vie mais comment pouvoir re confier mon cœur à quelqu'un en sachant qu'il risque d'encore une fois se briser ?

Nous étions en septembre, je me lève avec beaucoup de mal, les vacances ne mon pas reposé du tout, je reprenais mon travail à 8:00 et il était 7:30 et je n'avais toujours pas la force de me lever mais je ne pouvais pas me permettre d'être en retard le jour de la reprise. Je me lève de mon lit et m'habille avec les premier habits que je trouve en m'en fichant de à quoi je ressemble, je prend mon café et pars pour mon taf. Ce boulot était vraiment merdique, personne ne m'aimais là pas à part valentine, elle est la secrétaire du patron et ma tout de suite bien accueillit l'or de mon arrivé, pas comme notre patron qui me regarde tous les jours avec un air de mépris, mais sérieux c'est lui qui m'as embauché quand même ! Sans oublier qu'on est des adultes on peut être professionnel et caché ce qu'on pense des autres, enfin bon. Revenons en à valentine, c'est une jolie fille au cheveux blond, cours, et au jolie yeux vert, elle est incroyablement douce avec tout le monde et poli, quand ses poses sont au même horaire que les miennes elle vient souvent me tenir compagnie car, évidemment, je mange seul si ce n'est pas avec elle.

Cette journée c'est bizarrement plutôt bien passé, j'ai finis en avance tous les documents du jour que je devais ranger et les mails à trier eux aussi je pouvais donc rentrer plus tôt chez moi. Sur la route du retour me vint l'idée d'aller acheter quelque chose à manger car je n'avais pas fais de pose à midi, je n'avais pas faim. Je m'arrêta donc dans un restaurant qui fais à emporté qui est très réputé dans ma ville et commanda deux pizza, non je n'invite personne aujourd'hui je mange juste énormément. En sortant du restaurant je sentis que ma visions assombrit, je n'entend presque plus rien du monde qui m'entourer, même pas les nombreuses voiture sur la route qui klaxonner, je savais que j'allais tomber je me préparer donc à heurter le sol violant à cause de l'incapacité que j'avais à bouger mes membres mais ce moment n'est jamais arriver car, en ouvrant les yeux, je vis un jeune homme à genoux par terre qui tenais ma tête pour pas qu'elle ne touche le sol et sa main était posé sur ma joue. Je le voyais mais l'entendais pas que je comprend vite qu'il criait sur les passant pour que quelqu'un appel les pompier. Mais la seule chose que j'ai pu me demander à ce moment la c'est si les pizza était foutue et je compris vite que j'avais penser à voix haute et le vis rigolais et souffler de soulagement en voyant que j'étais de nouveau consciente, son sourire était vraiment magnifique à la limite d'envoûtants.
- « tu viens de perdre connaissance etc'est la seul chose pour laquelle tu te soucis ? » me dis le jeune homme au cheveux noir qui me tenait encore la joue de sa main froide qui me faisait du bien.