28.

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Presqu'un mois était passé après que Dayanah avait reçu cette balle. Y compris ça discutes avec Jade qui ne c’était pas très bien finis.

Elle avait appris deux jours après de la bouche de Bakir, le départ de ses amis. Pendant se lapse de temps Dayanah avait recouvré la quasi totalité de ses forces. Mais elle n’avait plus reparler a Jade.

Dès le moments ou le docteur donna son accord, Abel la ramena au palais. Une chambre totalement aménager et plus d'infirmière qu’il n’était nécessaire lui avait été assigner.

Mais peut importe le nombre de fois ou elle c’était plainte que c’était trop,  Abel refusait de l’écouter. La sécurité du palais avait aussi été renforcer.

Pendant qu’elle recouvrait ses forces beaucoup de chose se passait dans le pays, même si certaine personne en faisaient abstraction.

Comme l’arrestation d’Hamed qui avait finis par fuiter. D’après Amisa les gens n’avaient pas montré grande tristesse pour la déchéance de son oncles, encore moins sa familles et les choses avait repris leur cours normale tout simplement.

Alors que les infirmières la soigne la jeune femme ressent une vague de nostalgie la gagné.

Il y’a peu elle pleurais encore la disparition de Karim, mais entre la découverte sur sa vrai identité, son arrivé a EDESSE et sa rencontre avec Abel, Dayanah avait souvent l’impression d’avoir été projeter dans un univers parallèle.

Tous cela lui semblait déjà tellement loin, tellement irréel. Toute sa vie elle c’était contenter de vivre le jour le jour sans jamais trop en demander.
Et la elle se retrouvais dans un pays étranger, après avoir frôler la mort, parce qu’elle se trouvais être la maitresse du roi.

Celui la même qui se trouvais être son beau-frère. Et dans quelques jours elle devrait célébrer les 1ans de la disparition de Karim alors qu'ici les gens pleurais encore pour sa mort.
En repensant a son bilan de l’année, Dayanah eu un rire amer qui attira l’attention de son infirmière.

—Est ce que tout va bien Madame ? Lui demanda t-elle l’air réellement inquiète.

—Oui merci beaucoup, vous pouvez disposer.

Les jeunes femmes hésitent un moment puis finissent par quitter la chambre. Une fois seule. Dayanah  se lève en utilisant la béquille qui lui avait été donner même si elle en avait plus vraiment besoin.

Une fois habillé elle entreprit de sortir mais devant la porte elle croise Amisa qui secoue la tête tristement les mains pleines.

—Il n’est que 7h il doit encore être la ?! Riposta t-elle.

—Je suis désolé Mademoiselle, mais il est déjà partie pour la capital. Je vous ai apporter votre déjeuner…

—Je n’ai pas faim !

Dayanah claqua la porte avec rage et resta prostré devant un petit moment, dépiter.

Après le départ de Jade, elle avait bien vue qu’Abel l'évitait, malgré qu’elle avait tout fait pour  lui expliquer qu’il n’était pas en cause, Abel semblais ne plus arriver a la regarder dans les yeux. 
Il semblait ne plus vouloir la voir tout court. Abel lui avait rendu visite dans les premiers jours de son retour au palais, en se montrant très affectueux, puis ne c’était plus montré.

Au début Dayanah pensais qu’il était simplement occupé, elle essayait de se rassuré, mais a chaque fois qu’elle se rendait a son bureau les gardes ou Bakir lui donnait toujours la même excuses.

Il est occupé, il est sortie, il viendras vous voir plus tard. Mais il n’était plus revenue depuis.
Elle essaya même de le débusquer a l’entré de sa chambre, mais la encore rien.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant