Chapitre 23

1.6K 72 5
                                    

C'était jour de course, j'avais enfilé mon polo noir et un jean de la même couleur. Une couette haute fera l'affaire.

Je rejoignais l'hospitalité Mercedes, il y avait un petit déjeuner d'organiser, je pris une assiette et me servait des fruits et un yaourt.

Je pris place à côté de George qui était entrain d'engloutir un nombre incroyable de gaufres belge.

« Céleste : Mais tu mets ça ou?

George : J'en sais rien, mais je remercie le seigneur de pouvoir manger autant sans grossir.

Céleste : La chance. Je regardais mon yaourt fade.

Lewis : Tiens je t'ai pris une gaufre Cel. Manges la, c'est bon.

Céleste : Bon si c'est toi qui me force... Je savourais la gaufre. Vous savez ou est Toto ?

George : Dans son bureau je crois.

Céleste : Je vais monter le voir. »

Je débarrassa mon assiette et pris deux cafés bien chauds. En entrant dans la pièce je voyait le directeur d'écurie sur son pc avec ses lunettes.

Je m'avança et lui tendit un café, je pris place sur la chaise face a lui.

« Céleste : Dis j'ai une question ?

Toto : Oui ?

Céleste : Pourquoi Carlos me dit de te demander des explications ?

Toto : eh bien, il n'a pas perdu de temps. Il rigola pendant que j'haussais un sourcil. Il tapais sur son ordinateur. Tiens regarde, il tourna l'ordinateur et je cru m'étouffer en voyant des photos de Carlos et moi au restaurant en france.

Céleste : Qu'est ce que ? Pourquoi je ne les ai jamais vu ?

Toto : J'ai acheté les photos. Le gars qui les a pris m'a contacté pour avoir plus de matière avant de les vendre a la presse. Je voulais pas qu'elle sorte car tu n'étais pas annoncé chez Alpine encore. Je voulais qu'on parle de toi pour le contrat et non pas pour un date. Tu comprends ? J'hochais la tête. Sinon les médias auraient pu dire que tu as eu ton contrat en fréquentant un pilote ou tout autre connerie. Donc j'ai parlé avec Carlos, je lui ai demandé de prendre ses distances le temps que l'annonce soit fait. Pourquoi, c'est grave ?

Céleste : Bah... pour être honnête on a couché ensemble après le restaurant. J'étais rouge tomate de raconter ca a mon patron. Mais nous étions suffisamment proche et il allait gérer mon image alors autant qu'il sache tout. Puis il a disparu des radars. Il m'évitait et ne répondait pas à mon dernier message...

Toto : J'ai insisté pour que tu sois pas dans la confidence pour que tu te focalises sur Alpine et que vous ne vous trahissiez pas avec des regards ou des rendez vous en cachette pas discret. Mais je ne lui ai pas dit d'agir avec autant de froideur. Il était réellement embêter.

Céleste : Il t'as dit quoi quand tu l'as convoqué ?

Toto : Que ta carrière passait avant ce qu'il pouvait se passer entre vous. Carlos est très froid Céleste, honnêtement je pourrais même pas te dire quel sentiment lui passait pas la tête, c'est une vraie porte de prison.

Céleste : Oh... merci. Je vais essayer de voir ça. Je sortit de son bureau »

Alors que je descendais les escaliers et regardais l'heure. Je pense que les garçons doivent traîner par bien loin.
J'avais peut être une chance de discuter avec lui avant qu'il prenne le départ.
Je me dirigea vers les box, il était seul sur son portable, j'avançais vers lui, mais je commençais à regretter de plus en plus. Il avait l'air énervé. Une fois a quelques mètres il leva la tête pour me regarder, il s'assura en regardant tout autour que c'était bien lui que je venais voir. Il se leva rapidement de la caisse où il était assis.

55 - CARLOS SAINZOù les histoires vivent. Découvrez maintenant